Petit Ange

Chapitre 55 : Une treve.

Cinq jours s'était passé.

Je n'avais pas vu la semaine passée. J'étais trop occupé à organiser ce fameux Noel.

Je voulais qu'il soit parfait.
Pour Ric.

Caroline et les autres m'aider beaucoup.
Elle et Bonnie s'occuper des plats.
Matt des boissons.
Stefan s'était occupé du sapin avec Elena et petit frère, malheureusement pour moi..
Et Damon..c'était Damon.

Tandis que moi, je m'occupais des décorations.
Ce que je préférais le plus.
J'avais mis toute mes économies la dedans.

Je sortis du magasin avec les bras remplies de carton. Beaucoup plus grand que moi.

Je ne savais même pas que j'avais autant de force dans les bras pour porter tout ces cartons.

Alors que j'arrivai vers ma voiture, je voulu tout basculer dans mon coffre.

-No, no,no! Criai-je en voyant plusieurs cartons tomber.

Mais heureusement quelqu'un les rattrapa.

-Je vois que tu as toujours besoin de quelqu'un pour t'assister.

En levant ma tête, mon sourire s'effaça a la vue de la personne qui portait les cartons.

-Je n'avais pas besoin de toi, crachèrent en lui arrachant les cartons des mains.

-Que me vaut cette mauvaise humeur?

-Je suis de très bonne humeur. J'adopte juste la même attitude que tu as avec moi, dit-je en partant à l'avant de ma voiture et ouvris ma portière.

Mais il apparut devant moi et me bloqua la portière.

-Quel attitude? Demanda t-il ne comprenant pas.

-Quoi? Tu as tellement l'habitude de mal parler au gens que tu ne te souviens même pas comment tu agis avec eux? Remet toi en question Klaus, lui dit-je en voulant rentrer dans ma voiture.

Mais agacé, il ferma nettement ma portière d'un coup de colère.

-Tu ne me donne pas d'ordre.

-Et toi lache ma portière, répondis-je sans me dégonfler.

Un duel de regard se lança entre nous. A celui qui baissera les yeux en premier.

-Tres bien, dit-il en lâchant ma portière et mis les mains en l'air.

Je le regarda méfiante de son comportement.

Il lache aussi vite l'affaire?

-Mais ne t'étonne pas de mon attitude envers toi quand on voit la façon dont tu accueille les gens chez toi!

Je me disais aussi..

-Comment ca de quel facon? Demandai-je agacée de ces petites comédies.

-La prochaine fois, tu pourras éviter que t'es ébats amoureux vienne jusqu'à ta porte.

À ces paroles, je vis de la haine dans ces yeux.

-Quoi? Attend qu'est ce que tu veux dire par la?

-Rien du tout, détourna t-il le regard.

J'eus soudainement un sourire.

-Tu es jaloux?

-Ne dit pas n'importe quoi. Je ne t'aime pas.

-Pourtant ta réaction est vraiment excessive.