la dernière épouse du Roi

71💎

Je m'excuse pour ce grand retard mais pour être sincère je n'avais aucune inspiration. Rien, zéro. J'avais besoin de penser à autre chose un moment pour pouvoir avoir une idée de la suite. Je ne voulais pas écrire un chapitre juste pour mettre une suite mais écrire un chapitre qui me plaît à moi même tout d'abord. Et comme tout que j'écrivais ne me plaisait pas, je ne pouvais pas publier un chapitre qui me paraîtrait nul. Désolé si parfois je m'égare de l'époque de l'histoire mais pour ma défense, je n'y connais pas grand chose à toutes ses anciennes cultures et tout. Tout ce que je sais, je le vois dans Jodha Akbar. J'espère que le chapitre qui va suivre vous plaira. Désolé si certain personnage ne correspond pas à leur vrai personnalité ou si le rôle que je leur donne n'est pas très plaisant. Enfin bon, ce n'est qu'une fanfiction. Bon bref, la suite ! 😍🤧
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Shion descendit de son cheval en arrivant dans la forêt. Elle avait tant de chose en tête. À peine avait-elle monté la tente et allumé le feu, qu'elle avait commencé à s'entraîner à l'épée.

Elle était seule dans les bois. Un peu comme à son habitude. Elle pensait à cette pauvre Karui. Elle pensait à sa mère, à Hinata, à Naruto. À sa vie d'avant.

Elle se sentait si misérable maintenant. Elle donnait des coups en l'air imaginant qu'elle avait quelqu'un en face d'elle.

Elle entendit alors une voix derrière elle. Elle n'avait pas besoin de se retourner pour savoir qui c'était. Elle connaissait que trop bien cette voix.

Toneri était juste derrière elle. Il avança vers vers elle sans faire trop de bruit puis déposa un baiser sur sa nuque.

- Bonsoir ma douce.

- Je t'ai déjà dis d'arrêter de m'appeler comme ça, dit Shion les joues rouges.

- Pourtant quand je partage ton lit tu ne sembles pas gênée de ce surnom.

- Arrête de remettre ça sur le tapis. Je n'aurai pas dû boire autant à la fête du village et toi tu n'aurai pas dû t'introduire dans ma chambre.

- Le fait est qu'on a fait l'amour Shion. Je sais que tu n'étais pas soûl arrête avec ton cinéma. Tu en mourrai d'envie.

- C'était une erreur. Toneri je t'ai dis qu'il fallait mieux qu'on reste ami.

- Si à chaque fois que je fais des kilomètres pour te voir tu ne peux pas t'empêcher de céder à mes avances, ça sera difficile de faire semblant.

Shion lui tourna le dos les joues rougies par la honte. Elle en avait marre d'être si vulnérable quand il était là. Il lui faisait fasse. Quand elle était arrivée ici, il l'avait suivi. Il n'arrêtait pas de lui faire des avances qu'elle ignorait. Il était drôle. Il adorait la taquiner. Il lui disait qu'il l'aimait. La vraie Shion. Celle qui est combative. Elle n'aurai pas dû coucher avec lui. C'est vrai qu'elle n'était pas soûl. Mais quand il lui faisait ce sourire, elle n'arrivait pas à lui résister.

- Tu veux quoi ? Dit-elle.

- Te voir. C'est vraiment pour toi que je fais ça hein.

- De quoi tu parles ?

- J'ai donné les informations à l'intrus qui doit sauver la servante. Tenten... Je prends beaucoup de risque. Mais tu m'as demandé de le faire alors je l'ai fais.

- Mais... Toneri... Merci.

- Maintenant je peux avoir mon baiser ?

- T'es irrécupérable ! D'accord approche.

Toneri approcha. Elle semblait ne pas plaisanter. Il lui attrapa le bras pour la rapprocher de lui et dévorer ses lèvres.

- Je t'aime... Dit-il.

Elle ferma les yeux se laissant porter par ses sentiments. Il l'a porta dans ses bras pour la faire à nouveau sienne. Même si elle disait qu'ils n'étaient que des amis, il savait ce qu'elle ressentait pour lui.

...

Tenten déposa la dernière assiette sur la table. Le dîner important de son maître allait bientôt commencer. La femme du maître entra dans la pièce.

- Eh esclave ! Dit-elle. Tu as intérêt à bien faire ton travail. Moi et ma fille sortons. Le linge est à l'étage. Prépare tout.

Tenten hocha la tête. Elle n'avait pas envie de faire la rebelle aujourd'hui. Alors qu'elle rangeait les cuillères dans les tiroirs, elle sentit deux mains se poser sur ses hanches.

Elle tourna la tête vers son maître. Il lui reniflait le cou en lui caressant les hanches. Elle essaya de se dégager mais il était trop fort. Quand il dirigea sa main vers sa jupe, elle crû mourir de dégoût. Mais on frappa à la porte. Le maître lança un juron en allant ouvrir.

Un homme vêtu d'une cape élégante entra. Tenten crû mourir en reconnaissant le visage de Neji.

- Monsieur Ogawa ! Entrez ! Esclave, déposé le dîner sur la table. Un vin ?

- Oui je veux bien. Nous pouvons directement passer à table ? J'ai une faim de loup.

- Mais oui ! Attendez un peu.

Le maître entra dans la cuisine. Il tira Tenten dans un coin de la pièce où Neji ne pouvait pas la voir.

Après avoir assommé le vrai Ogawa, il est arrivé ici. Il ne pouvait vraiment pas oublier ses yeux noisettes et sa fine silhouette dévoilé par ses vêtements très court. Il avait vu des belles femmes, mais elle, elle l'intriguait.

- Maître arrêtez... Dit Tenten.

Neji entendit un peu de bruit. Il se demanda ce qui se passa.

- Tout va bien ? Dit-il.

- Oui oui...

Le maître tellement désireux de la toucher ne pouvait pas attendre. Il déchira le haut de Tenten dévoilant ses seins ronds et fermes. 

Alors que le maître se préparait à goûter à ses tétons. Un couteau le transperçant le crâne.

Tenten leva les yeux vers Neji, le regard sombre de colère. Il n'avait pas prévu de le tuer. Mais il allait la violer et ça l'énervait. Le maître tomba au sol. Neji jeta un coup d'œil à Tenten. Il ne pût s'empêcher de loucher sur ses seins clairs. Une bouffé de chaleur prit possession de lui. Voyant qu'il regardait sa poitrine, Tenten se retourna.

- Vous l'avez tué...

- Oui. Prends ma cape, on bouge.

...

Sasuke soupira en rangeant le dernier papier de l'Alliance entre Uzumaki et Suna. Il s'ennuyer ici. Terriblement même. Il n'avait qu'une seule envie. Revoir Sakura.