Manuella : La sénégalaise aux yeux bleus

Partie 16

L'amour

l'amour

l'amour

Quand tu nous tiens !

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---------------- Manuella ---------------

Cela faisait plusieurs jours que mon mari est devenu le plus grand des séducteurs. J'adore cette facette de lui et surtout qu'il est devenu très doux pour mon plus grand bonheur.

Je n'ai jamais eu de relation avec un homme. Je n'ai jamais vécu une relation amoureuse avec qui que ce soit, c'est pourquoi je ne sais pas trop comment me comporter avec lui. Et je ne sais pas trop à qui en parler.

Si maman était là !

Bon, inutile de se morfondre. Je prends une douche vite fait et m'habille d'un jean bleu et d'un top fushia. J'attache mes cheveux en queue de cheval et met des boucles d'oreille en vis de couleur argenté. Je me parfume et sors de la chambre retrouver Mansour dans le jardin.

Je le trouvais assis sur un transat, en pleine conversation téléphonique. Je m'installais non loin de lui et lui fit face.

Il était habillé d'un jogging noir et d'un polo kaki. Avec ses lunettes de soleil, il ressemblait à une star de cinéma. Il est d'une élégance stimulant, d'un charisme dominant qui laisse toute personne pliée à ses besoins. Il est très imposant de par sa carrure, son regard, sa voix, son comportement, ... Il est sûr de lui et dégage une virilité hors du commun surement due au sport qu'il pratiquait matin et soir. Un sourire béat se dessinait sur son visage ce qui le rendait plus attirant avec sa barbe bien entretenue.

Il va rendre les filles folles d'excitation.

C'est trop de provocation en un seul homme et il sait surement qu'il fait de l'effet alors il en profite là à se pincer la lèvre.

- Je sais que je suis beau mais retiens toi ma chérie « khol ma ndak yaw tamite ». Tu baves là.Dit-il en me sortant de mes pensées.

- Tshiiiiiiiiiiiip

Je roule des yeux et croise les jambes en essayant de me concentrer sur mon téléphone. J'étais tellement gêné que je ne savais même pas ce que je faisais sur le moment.

Il rigolait et se levait pour venir à mon encontre.

- Vient. Me dit-il en me tendant la main.

Je le regardais avec incompréhension et il me fit un clin d'œil en m'aidant à me lever. Il me tira et me colla sur son torse.

- Moi : Qu'est-ce que tu fais ?

- Lui : Je voulais te donner l'opportunité de toucher ce corps que tu ne cesses de regarder depuis que tu es là.

- Moi : N'importe quoi.

Je me dégageais de lui et marchais vers l'entrée du bâtiment. Je ne sais pas à quel moment mais je me suis senti soulever comme un sac de riz.

- Mais qu'est ce qui te prend Mansour, fait moi redescendre. POSE-MOI TOUT DE SUITE. Criais-je en vain.

Il ne se souciait même pas de mes ripostes. Il courait vers la piscine.

- Moi : Mansour je t'en supplie ne fait pas cela, je viens de me faire un brushing et ....

PLAFF