Chapitre 4: Le nouvel envoyé

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Je m'appele Sebastian et jusque là j'étais un étudiant sans aucun soucis dans la vie. Mais c'était surement ça le soucis. Moi et mon meilleur ami Rezel parlions justement du fait que nos vies respectives étaient trop monotones, vides de sens voir même ennuyeuse á mort. Zell quant á lui m'avaiy exprimé son fort ressentiement de vouloir sortir de cette monotonie quitte á créer une guerre. J'avoue que l'espace d'un instant j'ai pensé comme lui car ma vie était comme la sienne. Mais d'un autre coté je savais pertinament que la guerre était mal, pourtant j'aurai voulu même si ce n'était qu'une journée vivre dans un monde de ce genre. Enfin c'était prêt d'arriver. Ce jour là Zell et moi venions de nous séparer et il avait dit qu'il avait oublier quelque chose á la cantine. Après les cours je l'attendit pratiquement toute la journée mais il ne vint pas du coup j'ai décidé de me rendre á son appart. Sur le chemin je vis une voiture de police devant un café. Apparement il y avait une victime vu l'ambulance á coté.

-Tch, impossible que ce soit Zell.

Quand bien même, ma tête était plongé dans mon magazine militaire tandis que dans mes oreilles j'écoutais l'actualité.

-Tel pays au moyen orient était coupable d'utiliser l'arme chimique. Bah si vous voulez pas qu'on s'en serve fallait pas l'inventer de bases gros débiles.

C'est la vérité. Mais enfin, une fois sur le campus je salua vite fait les gens autour et me dirigea vers l'ascenceur.

-L'ascenceur est en panne monsieur. Me dit le concierge.

J'ai vite fait de survoler cette information et je suis juste monter dedans sans pression. Toujours coincé dans les infos j'étais sur le point d'arriver au dernier étage lorsque je vis sur le panneau.

-Charge maximale atteinte ? Mais c'est quoi ce.....

La porte s'ouvrit et un étudiant s'apprêtait a entrer.

-NON FAIT PAS ÇA.

Son pied se posa net sur le planché que la machine commençait á chuter. Je le poussais en arrière pour éviter qu'il perde sa jambe mais mes bras furent arraché lors de la chute libre. Pire encore la vitesse de la chute me plaqua au plafond. Je sentis que je n'en avais pas pour longtemps et je me suis demandé á quel moment de ma vie j'ai merdé. Abus de confiance ? Souhait irrationnel ?.

-Rien de tout ça. Fit une voix.

Je me reveilla en sursaut en me tenant la poitrine. Mes mains étaient encore là. J'étais ou ? Je jetta rapidement un oeil autour de moi.

-Putain de.... Merde.

On se croirait dans temple grec avant Jc. Plus encore ma tenue avait changée et cette femme se tenait devant moi. Elle était magnifique si j'étais parano je dirais que c'était une déesse avec ses cheveux dorés et ses formes avantageuses. Cependant elle avait un regard plutôt maternel signe qu'elle ne pensait rien de déplacer.

-On est ou ? Demandais je sans attendre. Je suis bien mort dans l'ascenceur non ?

-Oui tu es mort, mais j'ai pu sauver ton âme juste á temps. Désormais tu es á moi. Dit elle.

-Euh il y a erreur sur la personne.

-Sebatian N'Kozi, tu es venu d'Afrique pour étudier, avec ton meilleur ami Rezel vous prevoyier d'intégré l'armée n'est ce pas ?

-Á tout hasard ce n'est pas vous qui m'auriez tuer ? Je le dis parceque Rezel et moi avions toujours eu une chance insolente et puis ma naissance j'ai toujours eu l'impression que je mourrai de mort naturelle.

Elle me fixa d'un air un peu surprit et me sourit avant de s'emparer d'une carte.

-Tu as raison. Si je n'étais pas intervenu tu aurais surement vécu jusqu'a tes 86 ans et serait mort dans ton lit.

Ares Game:  The Gods GeneralOù les histoires vivent. Découvrez maintenant