Chapitre 17.5: Bell

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Tout les hommes naissent libres et égaux en droit, le plus gros mensonge que j'ai entendu de ma vie. Déja parceque la liberté est un concept abstrait qui échappe totalement á la compréhension humaine. Quand á l'égalité elle ne saurait existé dans la mesure des institution tel que la police et le gouvernement existent. J'ai lu ça dans un bouquin que j'avais chouré á un aristocrate et jusqu'a il y a peu j'ignorais encore ce que ça veut dire. Mais á force de passer du temps dans cet immense manoir je crois que j'ai fini par comprendre.

-Jeune homme veuillez vous changer le dîner est prêt. Avait dit la gouvernante.

-J'arrive Rita.

Le manoir Cailum dirigé par la famille du même nom, même dans mes rêves les plus fou je ne m'imaginais pas poser le pied dans un endroit aussi luxueux. Je me rappele encore quand je suis arrivé, j'avais l'impression de ne pas être á ma place... Non je n'étais clairement pas á ma place, un pouilleux des baffons de la capitale comme moi n'avait rien á faire là. Pourtant....

-Qui est cet adorable petit garçon ? Demanda Dame Asgeir. Ne me dites pas que....

-Ne va même pas imaginer ce que je pense. Avait répondu monsieur Alfar.

-Oh ça va je plaisantais.

-Maître Zell il est vrai que vous en avez fait des folies Avait dit Rita... Mais ramenez un manant chez nous ça jamais.

-Petit un, je ramène qui je veus dans mon manoir et petit deux c'est l'idée d'Arianne pas la mienne. Ce petit fou nous á agresser.

-Je plaide coupable.

-Je vois mais pas la peine de l'attacher ce n'est qu'un enfant.

Dame Asgeir s'approcha de moi et défit le cordon avec une grace élégante comme dans les romans. On aurait dit une vrai princesse. Elle me caressa alors les cheveux et me sourit.

-Dit moi petit quel est ton nom ?

Je ne pus répondre, j'étais fasciné par ce que je voyais. J'ai vu pas mal de noble quand je vivais le quartier pauvre et la plupart d'entre eux nous crachait au visage dès qu'on leur demandait quelque chose. Mais ici j'avais l'impression d'avoir attérit non pas chez des nobles mais.... Chez des êtres humains.

-J'ai quelque chose sur le visage ? Demanda Dame Asgeir.

-Bon c'est pas tout ça faut qu'on le change. Fit monsieur Alfar.

C'est ainsi que je fus amener dans la chambre d'ami qui allait devenir mes quartiers, on me lava, me coiffa, me coupa les cheveux et on me donna des vêtements propres. J'ai même pris un bain pour la première fois de ma vie. J'ai manger des plats dont j'ignorais jusque là l'existence. J'ai vraiment adoré tout ces moments passés avec eux, mais le soir venu je me reveilla subitement en trombe.

-Il est temps de se mettre au travail.

Au cours de ma visite du manoir j'ai repérer tout les objets ayant supposément de la valeur. J'ai alors caché un sac sous mon lit en prévision de ce moment. Aussi après l'extinction des feux je sortis discrètement de ma chambre. Je m'empara d'objet leger pas trop lourd car le sac ne suffirait pas á lui tout seul. J'avais même pris un couteau dans la cuisine au cas ou je me ferais prendre. Ce n'est pas la première fois que je cambriolais une maison et ce ne surement pas la dernière. Après avoir remplit mon sac je m'éclypsais discrètement en fermant les portes. Ce serait comme si je n'étais jamais venu. Je me rappele encore des paroles de mon boss.

-Tu sais gamin, les nobles c'est tous des enculés, ils te font croire que t'es important ils te poussent á les suivre dans leur guerre et quand vient le moment des récompenses ils te crachent á la gueule.

Ares Game:  The Gods GeneralWhere stories live. Discover now