Last Christmas... (Charlie Et La Chocolaterie)

Chapitre III

Le grand homme partit devant en montrant un pas sur de lui alors qu'il ne l'étais pas. Passer autant de temps de nouveau, dans un lieu, où de plus, énormément de gens apprécient passer, rien que le fait d'y penser lui faisait grandir son stresse. Il racla alors sa gorge avant de sortir avec Charlie, et l'ascenseur de verre. Le ciel était très clair et la neige fraîche recouvrait le paysage à leurs pieds et devant eux. On entendait de plus en plus de bruit au fur et à mesure que les deux silhouettes ne se rapprochait du lieu. Mais très vite le stresse retombait lorsqu'il retrouva cette chaleur d'hiver, de couleur et d'odeur. Willy fermait les yeux et s'arrêtait quelques temps pour sentir cette odeur de chocolat chaud qui lui rappelait ces moments où ils passaient à côté des marchés d'hivers. Cette odeur sucrée qu'il n'avait jamais pu goûter autrement que par le nez. Il retrouvait tous ces souvenirs plus ou moins heureux.
Le père de William n'était pas du genre, ni à fêter Halloween, ni Noël. Il se cachait derrière l'excuse du sucre pour ne simplement pas avouer ce manque qu'il éprouvait et qu'il retrouvait en revoyant son fils. Willy n'avait jamais osé demander quoi que ce sois sur sa mère. Mais, il avait Imaginé d'après quelques images de couleurs ternes, que ça mère portait le nom d'Ametyste. Le seule objet que Wilbur semblait avoir garder d'elle était un collier disposant d'une de ces pierres violettes  imposantes autant que rares. L'idée même de porter des lentilles de couleurs violettes lui était d'ailleurs venu de là, depuis le jour où, après avoir acheté ces bonbons du distributeur, il avait juré qu'il deviendrait le plus grand chocolatier de ce monde. Il avait même souhaité exprimer ce souhait à son père, espérant qu'il comprenne ses convictions. Mais, à la place, il a été chassé de leur maison...
« Monsieur Wonka ? Monsieur Wonka ! Disait alors Charlie, Vous avez encore une un flash-back ?» Il le regardait d'un aire si innocent que Willy n'avait pu s'empêcher de lui répondre d'un sourire, changeant de sujet :
« Bien! Ne perdons pas plus de temps... Il fit un petit sourire nerveux cette fois, et s'engouffrait dans la foule.
- Vous avez vu toutes ces couleurs ! Ça fait presque mal aux yeux. » Ils se dirigeaient vers un sorte de petit chalet montrant de petites status en bois. Chacune était unique et parfaitement taillé. Le regard du petit garçon s'arrêtait sur elles, une par une. Une d'entre elle était une magnifique danseuse étoile avec un Tutu d'écorces frêlement taillés. Charlie avait la politesse de ne toucher seulement avec les yeux. Willy ne prêtait pas attention à tout cela, son attention était concentré sur toutes la population qui grouillait dans son dos et qui le frôlait de façon parfois presque violente. Il en fit quelques grimaces mais restait derrière Charlie en ne voulant pas qu'ils ne subissent ces secousses. Charlie le fit soudainement sursauté « Regardez ! C'est si joli ! Ces personnes sont trop doué ! ». Le chocolatier essayait de distinguer ce que le jeune homme voulait lui montrer. Ce qu'il voyait l'etonnait aussi. Devant eux se tenait une immense maquette de la chocolaterie, mais celle ci paraissait bien moins terne que la vrai. Ce petit jouet était de couleur marron clair, cela se paraissait à un mélange de boulot et de chêne polis. « Waw... C'est fidèle » dit alors le grand homme en mettant ses mains sur le jeune garçon, une idée derrière la tête. Charlie avait repris son attention sur d'autres sculptures.
Ils se promenaient de chalets en chalets mais ne prenaient pas le temps devant ceux proposant de la nourriture. Parfois l'odeur si dégageant était bien lourde; entre le vin chaud et la charcuterie du réveillon. Aucuns des deux ne supportait cette sensation olfactive. Ils restaient donc à arpenter ces kilomètres de bonheur tout en contemplant toutes ces petites décorations festives.Mais tout à coup, Willy se retrouvait seul. Il regardait tout autour de lui, pas une trace de Charlie. Mais il soupirait en le voyant avec ses parents. Monsieur et Madame Bucket avait donc décider de les rejoindre.