Chapitre 11.

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     Ces voyages aurait dû me mettre la puce a l'oreille.
Comme toutes les autres choses d'ailleurs.
Mais j'étais dans ce que je peux appeler une boule mentale,j'étais coupée de la réalité.
Même vous,vous n'auriez pas pu me sauver.
Personne n'aurait pu sauf moi même.
Mais je n'avais pas le courage.
Mon entourage me sentais malheureuse dans cette relation que je n'arrivais pourtant pas à quitter.
Pourquoi ?
Parce-que à ce moment, j'ignorais toutes les explications que je vous donnes actuellement. J'ignorais que quelqu'un comme ça pouvait exister.
J'ignorais la grandeur du mal et de la maladie qui était a l'intérieur de mon petit ami .

J'ignorais que quelques soit la quantité d'amour,il serait jamais satisfait.

Des voyages pour du travail qu'il me disait.
Car son père grand homme d'affaires avait plantés des hôtels et des actions ça et là.

Alors je croyais.
Je croyais ce qu'il disait.
Je n'étais jamais aller avec lui dans ses voyages d'affaires. De toute façon je n'avais pas le droit.

Plus le droit de rien.

Et je pleurais.
Je pleurais pour tout.
Pour ma faiblesse.
Pour ma peur.
Pour tout.
Je m'en voulais.
Je voulais vraiment partir.
Mettre un terme à tout ceci, récupérer mes ami(e)s mais, je n'avais pas le courage,ni la détermination.

Je faisais pitié.
J'avais honte de moi.
J'étais une incapable.
J'étais l'ombre de moi même.
J'étais une pâle copie de ma propre personnalité.

La "relation" continuait de mal en pire,puis un jour lors de ces nombreux voyages.

Silence radio.

Silence radio

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Chronique d'une DayaOnde histórias criam vida. Descubra agora