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Maman : rym ???? Ma fille c'est bien toi ??? Allô ?

Moi : oui maman je suis désolé de t'avoir inquiété.

Maman tu es en vie c'est tout ce qui compte. Tu es tellement courageuse ! Je vais arrivé attend moi.

Moi : oui.

Je souriais. Elle était douce. J'avais hâte de la voir. Qu'elle me prenne dans ces bras. Elle avait raccroché.

Quand j'ai décollé le téléphone de mon oreille j'ai vu un message dans les notifications

0765****** : c'est yasar répond moi si t'es toujours en vie. Je suis dans le même hôpital que toi la.

J'ai toute suite répondu.

Moi : je suis en vie. Ma chambre c'est la 210. Ya personne encore.

0765***** : j'arrive.

J'ai posé le téléphone et l'infirmière et venu me prêter son chargeur. Mon coeur il battait fort qu'est-ce que yasar faisais lui aussi. Ici ? Il était blessé ??

On a toquer à ma porte. C'était lui yasar. Il était en blouse d'hôpital avec un pantalon en dessous mdr. Ca faisais rire ça dégaine.

Il avait une perfusion lui aussi qu'il tirais avec lui.

Il avais des pansement sur l'arcade et aussi au dessus du crâne. Juste sur le haut du front.

Il sait approché de moi en tendant la main

Yasar : je peux avoir le phone vite fais. Faut que j'appelle

Moi : ah tien.

Sa se voyais moi j'étais gêné lui il faisait comme d'habitude comme si de rien était.

Il a pris le téléphone et a composé un numéro en regardant mes plâtres. Et il a finis par beuger en voyant ça chaine autour de mon coup. Il a souris en répondant au téléphone

Lui : allô ? Ouais

Lui : j'avais pas mon téléphone. Je vais bien. J'ai rien. Pas la peine de venir rentre

Lui : rentre je te dis viens pas. Vous avez quelques choses vous ?

Lui : allez chez hamid c'est mieux

Lui : je vais rentré. Prends soin de toi.

Il ne m'avait pas quitté des yeux tout le long de ça conversation. Il a raccroché.

Lui : alors ça va mieu

Moi : ça va et toi ? Qu'est-ce que ta

Lui : deux trois plai rien de plus.... tu t'inquiète pour moi ?

Il souriais à fond. Mdrrr il me m'étais grave mal à l'aise.

J'ai évité le sujet en secouant sa chaîne autour de mon coup.

Moi : depuis quand tu l'as ?

Lui : depuis la laverie.

Moi : et depuis quand tu la autour du coup ?

Lui : depuis se jour la.

Moi : tu mens.

Lui : pourquoi je mentirais sur ça. Ta bien vu ça fais plus d'un mois que je ne t'ai pas parler et je l'ai encore. Je l'aurais perdu depuis des années si je l'aurais pas eu toujours ici.

Il me montrait sont torse avec ça main.

Moi : et amel la vu alors ?

Lui : ouais

Chroniques : Elle avait dans les yeux, La force du cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant