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Tout mon corps frissonais, j'arrivais pourtant pas à décrocher de ces yeux. Je voulais voir, est ce que mes mots l'avait touché ?

Il a mis quelques seconde à réaliser que je venais de lui dire ce qu'il attendais tant.

Lui : ah ouais mdrrrrr une bombe. Tu me la lâcher normal j'ai pas capté.

Il avait un grand sourire jusqu'au oreille. ça main tenait toujours sa tête, son regard mielleux me dévisageait.

Lui : tu sais pas se que ça me fais wAllah. Depuis le temps que j'attendais.... tu me rend dingue.

Je restais silencieuse. Il a montré du regard le déjeuner qu'il avait ramené.

Lui : mange, prends des forces.

J'ai acquiescé est continué à mangé. Il me quittait pas des yeux. Je le trouvais un peux lourd et j'ai fini par m'y faire est même par apprécier. Il veillait sur moi.

Peut de temps après le docteur est venu avec l'autorisation de sortie. Enfin , j'avais trop hâte de rentrer à la maison.

J'ai pris le sac ou il y avais mes affaires, pour partir mais yasar la pris de mes mains. Il était grave galant j'aurais jamais cru. Mdrr

Bref. On marchait côte à côte pour sortir de l'hôpital. C'était trop étrange. J'avais l'impression que c'était pas la réalité.

Yasar : ta pas envie de partir que tu traînes le pa comme ça ?

Moi : sisi je pensais à un truc.

Yasar : a quoi ? A moi ? Mdrr

Il rigolais au début est voyant mon silence il a dis

Yasar : jure tu pensais à moi la ??

Moi : mdrrr laisse tombé je vais rien dire

Yasar : ah nan tu jactes y a quoi ? Tu pensais quoi comme je suis beau tout ça ?

Moi : mdrrrr ah t'es grave confiant. Mdrrrr

Yasar : mdrr nan mais sah y se passe quoi ?

Moi : rien de ouf. Je me disais juste que j'y croyais pas.

Yasar : c'est pas fini encore. Ta pas intérêt de me lâcher , je te pardonnerais pas.

Moi : et si ma sœur veut pas qu'on se fréquente ?

Yasar : je la ferais changer d'avis. Y a pas.

Moi : tu sais comment elle a la tête dure mounia.

Yasar : ouais je sais. Mais je m'en tape elle auras pas le choix de plier.

Moi : je vais vite savoir se qu'elle en pense ma mère ma dis qu'elle arrivait en début d'après-midi.

Yasar : quand tu peux tu me donne des nouvelles.

Moi : oui.

On venais d'arriver à ça voiture. C'était pas celle qu'il avait laissé à amel sa en était une autre. C'était une grosse Mercedes. Je me demandais c'était a qui cette voiture. Au même moment, J'ai eu une petite baisse de tension je me suis appuyé contre la voiture une seconde. Yasar venait de posé mon sac à l'arrière.

Yasar : ça va pas ?

Moi : si j'ai eu la tête qui tourne une minute.

Yasar : t'es sûr que tu te sens bien ?

Il venait près de moi il sait penché face à moi pour inspecter mon visage.

Yasar : t'es grave pâle.

Chroniques : Elle avait dans les yeux, La force du cœur Where stories live. Discover now