Ignorance (Daniel/Max)

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 Daniel soupire en entrant dans l'appartement sombre et en bazar de son très cher Max Verstappen

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Daniel soupire en entrant dans l'appartement sombre et en bazar de son très cher Max Verstappen.

Il tire un grand coup sur les rideaux pour laisser la lumière pénétrer dans le séjour et grimace en apercevant la vaisselle sale entassée dans l'évier ainsi que les plaids emmêlés sur les canapé, accompagné d'une montagne d'oreillers.

Le couloir ... eh bien le couloir ressemble à la pièce à vivre sans aucune surprise. Des affaires sur le sol, un vase dont les fleurs sont bel et bien mortes, certains cadres photos sont même tombés au sol et n'ont pas été ramassés.

Splendide, vraiment.

Quant au propriétaire de l'appartement ? Il le retrouve dans la chambre, ou ce qui y ressemble, parce que le mélange de cours-nourritures-vêtements éparpillés partout tout dedans laisse comme planer un doute sur l'utilité de ladite salle.

Il pince le nez de l'hôte, après l'avoir retrouvé blotti sous les dix mille couvertures qu'il a pris soin d'entasser sur lui, comme salutation et ce dernier lui répond avec un gémissement.

— Chauffage cassé.

— Je t'avais dit de le faire réparer.

— Mais on était en été. Puis en automne. Il ne faisait pas si froid.

— Et on est en hiver maintenant, Max.

Un soupire lui échappe. C'est toujours pareil avec le plus jeune et si il trouve ça adorable, ça a son lot de désavantages aussi.

— Tu ignores tous tes problèmes, Maxy.

— Je sais ...

Le néerlandais s'extirpe tout doucement des couvertures, tremblant à peine c'est fait. Il doit venir enrouler son bras autour de lui pour tenter de le réchauffer.

— Tu sais également que c'est un mécanisme d'adaptation malsain ?

L'autre garçon fourre son visage dans son cou, grommelant.

— J'ignore ça aussi.

Cela le laisse sans voix quelques instants. Il n'est pas exaspéré, juste ... impressionné par autant de mauvaise foi.

Il retire soigneusement son pull et son pantalon avant de tirer Max avec lui sous les couvertures, le gardant bien serré contre lui.

— Allez, j'ai appelé le chauffagiste. On a bien une heure devant nous avant qu'il n'arrive.

Max, maintenant parfaitement au chaud, pousse un petit soupir de soulagement.

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Maxiel en force ! comme toujours avec moi (bien que j'écrive beaucoup sur Carlos et Lando en ce moment). Je ne ferais qu'un post demain puisque l'écrit est plus long que les autres ...

Lunar Pastime (F1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant