Deuxième partie.

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Cette Sheima à un visage d'ange, je la regarde et c'est un sourire qui est dessiné sur son visage, elle me stresse, elle n'enlève pas son sourire de son visage et les gens trop souriant on tendance à vouloir transmettre leur joie. Pourquoi elle vient me parler ? Je lui ai rien demandé. J'ai pas besoin qu'on vienne gratté l'amitié, dans mon cœur il n'y a pas de place pour aucun sentiment. Ce petit organe qu'est le cœur, peut renfermer beaucoup de chose, mais dans le mien se trouve que la tristesse de la mort de ma mère. La reine de mon cœur c'était ma mère dans mon enfance, je la voyais avec des ailes mais dès qu'elle as commencé à touché à cette chose illicite j'ai vu ses ailes se coupaient. 

Au fond de moi, le besoin d'un soutien se fais ressentir, mais ma fierté ne veut pas l'admettre. J'ai envie de pleurer mais je me retiens pour qu'aucun signe de faiblesse ne se remarque devant cette inconnue.

Je sens une main me secoué et m'enlevé de mes pensées. En une fraction de seconde, j'ai reculé.

Sheima : « Excuse – moi si tu ne voulais pas que je te touche, mais t'est dans un autre monde depuis tout à l'heure. » dit-elle d'un air désolé.

Moi : « Je ne te connais pas, et franchement j'ai pas envie de te connaître. T'est bizarre, tu m'accoste alors qu'on ne se connait pas, j'aime pas qu'on vienne vers moi sache le, j'avance seule et c'est mieux pour moi. Si j'ai besoin de parler, j'ai mon confident qui est ma clope, si je besoin de m'évader, j'ai cette fumé qui rentre dans mon sang, donc au revoir. » répondi-je.

Sheima : « Ta façon de parler me rappelle un ancien de la cité, au lieu de te renfermer sur toi même et te détruire à petit feu cherche toi un confident qui saura t'écouté, comme le Tout-Puissant, au lieu de te morfondre avec cette cigarette. J'insiste pas, si t'as besoin j'habite dans le bâtiment E pas très loin. Bonne chance à toi. » rétorqua – t – elle.

Elle se lève pour partir, mais s'arrête un moment, et me lâche cette phrase « Si t'est musulmane, réponds toujours à un ''salem aleykoum'' par un ''waleykoum salem''. »
Sa phrase, je l'est encrée dans un coin de ma tête, car ça ne fais pas de mal, de recevoir une leçon sur la religion. Le reste de ma journée je la passe sur ce banc à penser. Certains souvenirs d'enfance me revienne et j'aimerais les effacées, les rayées même les gommés, j'aurais tant aimée que ma vie soit un bout de papier pour pouvoir en faire ce dont j'ai envie.
Si j'étais maîtresse de mon destin, je la changerais. Si j'avais pû dire au faucheur de ne pas prendre l'âme de ma mère je l'aurais fais. Si j'aurais pû dire à mon frère de ne pas me laissée je l'aurais fais. Si j'aurais pû souhaité avoir toute ma famille près de moi, je l'aurais bien évidemment fais. Mais avec des « Si » on aurait refais le monde.

Je me lève, et pars de cette endroit qui pué ma solitude, qui sentais l'odeur de la tristesse. J'avance tout en vidant ma tête de toute pensée. Arrivée devant mon immeuble, des hommes y sont et c'est les même que ce matin. Les remarques déplacée j'allais les entendre. Parmis ces hommes se trouvé le fameux Khalis, la tête baissée, il devait sûrement réfléchir.

X1 : « Popopo missile en vue les mecs ! »
X2 : « Ça t'as pas suffit le vent de ce matin poto ? »
X1 : « Ta gueule ! »

Aucun son sort de ma bouche, je préfère les évitait pour ne pas me créer des ennuies, mais ces remarques ne faisait qu'attiser une flamme de rencoeur envers ces hommes. Je rentre dans le hall et là une main me tiens le bras, c'était X1. Il est grand, les yeux ronds de couleur marrons, un petit grain de beauté sur la lèvre.

X1 : « Oh, j'te parle ! » me dit-il.

Je dégage sa main, et sans un mot je commence à monter les escaliers.

X1 : « T'est muette ou quoi ? »

Je me retourne et d'un ton sec je lui réponds : « J'sais pas qui tu es, mais mon silence veut dire laisse moi tranquille, et vos remarques gardé les plus tôt dans vos pensées, j'ai l'impression que chacun de vos paroles sont des putains de poison, qui rentre dans ma tête. »

Mon Esprit VagabondeWhere stories live. Discover now