Troisième partie

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Leur appartement était bien décorée, avec des meubles anciennes tout était bien rangé, ça se voyait qu'il y avait une mère qui remettait tout à sa place. Au fil de la conversation, j'ai appris que la mère de Sheima vivait seule avce sa fille, et que son fils et son mari était dans leur pays d'origine qui est l'Algérie. Eles sont du sud de l'Algérie, donc elles sont matte de peau. Sa mère me remercie d'avoir aider sa fille et moi je réponds rapidement, je veux juste rentrée chez moi et ne plus me trouvait dans la même pièce qu'elles. Un sourire se dessinait sur son visage et c'était le même que Sheima.

La mère de Sheima : « Assez parler de moi, et toi tu vis avec tes parents ? »

Moi : « Mes parents c'est moi – même. »

La mère de Sheima : « Comment ça ? »

Moi : « Comme vous le comprenez. »

La mère de Sheima : « Ils sont..morts ? »

Moi : « Si être solitaire c'est la mort, je vous réponds que oui. »

Sheima : « Yemma.. »

La mère de Sheima : « Qu'Allah leur accorde la place au paradis.. »

Sheima : « Amîne. »

Moi : « Au revoir, je dois y aller. »

Je ne les ai pas laissés de répondre que je suis partis. J'entends des pas dans les escaliers me suivre.

Sheima : « On se voit demain ? »

Moi : « J'préfère rester seule. »

Sheima : « La solitude va finir par te détruire, toute les femmes sont mes sœurs, et toi tu l'es maintenant. »

Moi : « J'ai pas besoin de sœur, j'avance seul. »

Sheima : « Que tu le veuilles ou non, à demain Insha'Allah*. »

Mon esprit est tourmenté donc j'essaye de le laisser vagabondé à travers mes écrits. J'avance seule jusqu'à mon bâtiment, et dedans se trouve les ''hommes du hall'', ces hommes n'ont sûrement pas d'endroit où rester que ce hall, leurs journées doit se résumer à ça. Quand je les entends parlé, j'ai l'impression qu'il magne les lettres à leurs manière, dans chacun d'eux il n'y a pas un Baudelaire mais une âme qui as envie de se faire connaître. Les médias disent qu'ils devraient être écrouées, finir leur jour les mains liées, mais ils oublient que dans chacun de ces hommes il y a un sang rouge qui coule comme dans tout corps humain, pour les médias l'humanité est reservé aux humains qui possède de l'argent et non aux personnes qui n'ont rien dans les poches. Les milieux appellés difficile, seront toujours défavorisé malgré les loi politique de la ville créer qui sont mitigés mais qui sont source de tension et surtout de conflit.
Les yeux étaient tellement rivés sur moi, que j'ai raté une marche au niveau des escaliers, ma cheville me fait terriblement mal, je crie pas et j'essaye de monter les marche. Sur les escaliers je croise Khalis qui me regarde avec un regard de pitié.

Khalis : « Oh, t'as quoi à marcher comme une handicapé ? »

Moi : « Rien. Au revoir. »

Khalis : « Vas-y je t'aide. »

Moi : « Non, merci. »

Khalis : « J'sais pas qui t'est mais depuis que t'est là t'as des soucis, pour commencer les potos d'en bas, ensuite t'arrête pas de ne pas regarder où tu vas, et là tu t'est sûrement foulé la cheville ou heja comme aç, si une main essaye de t'aider tu devrais pas la refusé. »

Il m'aide donc à monter chez moi, je le fixais son regard était toujours aussi fatigué et triste. J'arrive devant mon appartement, j'enlève mon bras autour de sa nuque.

Mon Esprit VagabondeWhere stories live. Discover now