Entretien avec un vampire - The Hell

Entretien avec un vampire - The Hell 11

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Attablé depuis une dizaine de me minute, Calvin était partit je ne sais où. Je me sentais un peu seul et un peu conne. Serais-ce le meilleur terme ? La réponse est oui.

D' ailleurs Johannes avait également disparus. Dans la salle à manger - qui sois disant passant était énorme- où la table ressemblé plutôt à une table de palais, je pourrais dire a vue d'œil dix mètres et encore je suis sympas sans compter le nombre de chaise de chaque coté - environ douze chaises de chaque coté-. La table était en bois massive,  je pencherais plus tôt en chêne. Toujours dans mes pensé essayant de découvrir de quel bois était fait la table une femme et homme qui je supposais être des servants de Calvin arrivés. L’homme poussé une espèce de charrettes où trônés plusieurs cloche ou je supposais qu'en dessous était entreposer des plats. La femme quant à elle était à son talon, habillé d’une jupe noire qui lui allait au genou, une chemise blanche et un petit tablier blanc. La dame de ménage typique de la haute société. Exploitée des pauvres gens qu’ils veulent gagner de l’argent juste pour nourrir leurs familles et ils se réduisent à travaillé comme ménagère pour quelque dollars par jour.

 Ils avançaient dos droit, synchro on aurait dit un couple de danseur. Lorsque mon regard se posa sur le visage de l’homme. Je ressemblais à une personne qui s’était pris une gifle - qui n’avait lieu d’être-.

Les yeux du servant étaient vides. On dirait qu’il était aveugle mais nan car il ne fit aucun mouvement  qui pourrait clocher, mes yeux se posèrent sur ceux de la femme. Pareil.  On dirait que leurs yeux on était possédé d’un monstre car on ne distinguait pas les iris, les pupilles, et le blanc de leurs yeux. Rien. Ils s’étaient tout noirs. Les rides présentes à la commissure de leurs yeux prouvé qu’ils s’étaient effrayés où plus. Qui aurait pu leur faire sa, ils étaient comme ensorcelé ou hypnotiser. Leur visage étaient neutre aucun trait rien, je ne pouvais rien tirer à part leur ongles presque noir, je suppose à cause du travail.

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Pendant ce temps l’homme avait déposé  une cloche sous mes yeux, ses gestes étaient plus mécanique que physique pareil pour la femme tous leurs gestes étaient synchro, et mesuré aux millimètres près. Lorsqu’il enleva la cloche, mes narines s’entèrent l’odeur de caviar. Mes yeux se déposèrent tranquillement sur l’assiette. Mon odora avait vus juste du caviar j’en avais déjà mangé un jour avec Pearl dans un de ces fêtes de riche. Ensuite, tranquillement il versa du vin rouge, et le problème c’est que je n’aimais pas le vin. Je ne dirais pas non pour du champagne mais le vin et tout ce qui me dégoute, en plus celui là avait l’air visqueux. « Et si c’était du sang ? ». Je viens à peine de venir et ils veulent déjà que je reparte avec une sensation dégouttement pour la vie. Ils commencèrent à s’en aller, lorsque j’essayais de les appeler discrètement mais ceux-ci m’entendait à peine.

-          HEHO ! criais-je ! VOUS ÊTES SOURD OU QUOI ?

Ils s’arrêtèrent en même temps, aïe je crois que je n’aurais pas dû crier comme un singe. Ils me calculèrent pas et continuèrent leur route.

-          Merde ! pestais-je

-          Ils ne vous entendront pas ! surgis une voix de nulle part

Lorsque je me tournai vers mon interlocuteur, qui était Calvin. Il était sous l’encadrement de la porte, je voyais à moitié son visage cachée par le l’obscurité des couloirs, un sourire collé au visage. Je me giflais mentalement pour vus qu’il n’était pas là depuis ta leur et qui ne mes pas vu en quelque sorte « vociférer » ses servant.