Madinah - Ce n'était pas pour moi.

Chapitre 37

Madinah - Ce n'était pas pour moi.

©️️AYSHA__DYA

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Alors, le lendemain

Je me suis réveillé, habillé etc ... genre prête à aller travailler quoi. C'est pas j'arrive sur le parking d'en bas de chez moi.

J'étais tellement dans un bon mood aujourd'hui, non c'est trop.
Je me dirige donc vers ma voiture et je vois qui ? Moussa assis sur mon capot.

J'ai très vite changer d'expression en le voyant.

- ça va, je ne te dérange pas j'espère

Moussa - Madinah

- Tu peux descendre du capot s'il te plaît, je doit aller travailler.

Moussa - Arrête de me parler comme i fanan ( toi aussi )

- Si mon frère te vois ici ...

Moussa - Hé Ousmane ne va rien faire, il a un aussi bon coeur que toi ...

- Ok, tu peux me laisser aller travailler s'il te plaît ?

Moussa - Je suis venue voir comment tu aller

- Tu m'as vue hier non ? J'allais très bien et rien a changer aujourd'hui.

Moussa - Tu m'as déjà remplacer ?

- Tu peux te décaler

Moussa - Je ne bougerai pas tant que tu ne m'a pas expliquer qu'est-ce que tu foutais avec ce garçon hier, tard le soir en plus

- Ça te regarde ?

Moussa - OUI, ça me regarde parce que tu es ma femme en fait ...

- Hé pardon, ex-femme cousin et puis il ne faut même pas me considérer comme « ex-femme »

Moussa - Et je doit te considérer comme quoi ?

- Ne me considère pas tout court, c'est tous ce que je te demande.

Moussa - Pourquoi tu ne traines qu'avec des hommes ?

Franchement, il était 8h ou 9h du matin, le gars me pompe déjà l'air.
Il ne voulait pas bouger, il était à fond dans son délire là, ko ( il a dit ) je traine avec les hommes.

Ça dérange qui ici ? Personne.
Puis même si ça dérangerai ce n'est pas mon problème.

Je suis monter dans ma voiture avec une sérénités de malade, si il bouge pas, je le ferais bouger.

Moussa - MADINAH ...

- HÉ TU te calme toute suite mon coco, il est 9h du matin mec les gens dorment donc va faire ton scandale ailleurs merci.

Il avait enfin bouger de mon capot et j'ai démarrer très rapidement.
Il hurler là-bas solo.

Nan vraiment, lui là, il n'a même pas honte.