Calor calor

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— Tu vas vraiment devoir rentrer ? me demandait Tae en passant une main dans sa tignasse brune, légèrement agacé.

— Il faut que je vois ma banquière. soufflais-je aussi déçue que lui.

Ce matin, ma banque m'avait laissé plusieurs messages inquiétant ; me prévenant que mon "mari" voulait vider mes comptes et avait essayé de bloquer ma carte. En gros encore un coup foireux de Tae-il. Je devais alors rentrer à Séoul pour confirmer en personne, que mon ex fiancé ne pouvait s'approprier mes biens. Je trouvais que ça manquait un peu de bon sens, mais nous avions un compte joins ensemble et j'aurais aimé en récupérer au moins 15%. Bref, j'en profiterais pour voir mes parents et les rassurer, remercier Amber, et enfin supprimer Tae-il de ma vie.

— Tu penses pouvoir être de retour pour la fashion week ? lançait Tae en s'asseyant à mes côtés dans le lit.

— J'en sais rien, j'ai plusieurs trucs à régler Taehyung. Je ferais de mon mieux. soufflais-je.

— Ne t'inquiète pas, c'est pas grave si tu ne peux pas venir.

Il s'approchait de moi et m'embrassait tendrement avant de m'attirer un plus vers lui.

— Tu vas me manquer... me dit-il en glissant ses lèvres dans mon cou.

— Je ne pars que pour quelques jours, Tae. Et toi aussi tu rentres bientôt à Séoul.

— Je sais, mais j'aurais aimé qu'on passe plus de temps ensemble, loin de tous ces problèmes.

— Moi aussi.

Il plongeait son regard amoureux dans le mien, caressant du bout des doigts mes cuisses. Je me relevais alors pour m'assoir sur ses jambes avant de l'enlacer. Ça ne me plaisais pas de partir, surtout sans lui ; mais nous avions tout deux des obligations. Je passais alors mes mains dans sa chevelure ondulée, souhaitant profiter des dernières instants avec lui. Je savais très bien que je ne partais que pour quelques jours, mais être loin de lui était une torture.

Taehyung, prit d'une passion soudaine, plaqua fougueusement ses lèvres aux miennes dans un baisé désordonné mais tendre, comme s'il avait peur que je disparaisse aussitôt. A bout de souffles, nous nous séparions à contre cœur, Tae posa alors ses si beaux yeux sur moi avant de m'embrasser à nouveau. D'une main habile, il dégrafait mon soutien-gorge et le fit glisser le long de ma manche avant de le lancer dans un coin de la chambre.

— Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime. soufflait-il contre ma peau brûlante.

Fou de désir, il se redressait et enlevait son t-shirt avec rapidité ; me dévoilant son torse musclé, avant de s'empresser d'enlever le mien.  Tae admirait mon corps avant d'en embrasser chaque centimètres, prenant soin d'y laisser quelques suçons au passage. Je passais alors mes mains dans son dos, caressant ses omoplates larges, les glissaient le long de sa colonne vertébrale.

— Je t'aime tellement. continuait Taehyung de sa voix grave, alors qu'il embrassait mes hanches.

Tae se reprochait de mon visage, dévorant langoureusement mes lèvres, avant de poser sur moi ses pupilles ardentes de passion.

- Je ne peux pas m'empêcher de te regarder. soufflait-il, tandis qu'il me faisait glisser sur le dos pour se retrouver au-dessus de moi.

Il s'empressa alors, légèrement impatient, d'enlever nos derniers vêtements. Taehyung admira une nouvelle fois mon corps nu. Et soudainement, le regard assombri par la luxure, il m'attrapait par les hanches afin de m'attirer plus vers lui pour me pénétrer brusquement me volant un cris de plaisir et surtout de surprise.

Ondulant son bassin avec force et rapidité ; Taehyung m'assenait de puissant coup de reins.

— Oh mon dieu Taehyung ! criai-je, prise d'une passion intense.

Soudainement Taehyung glissa ses main le long des mes cuisses avant de les soulever pour enroulé mes jambes autour de sa taille. Aussitôt ses allers-retours devinrent plus profond, me faisant gémir d'autant plus.

— J'adore quand tu cris mon nom... me soufflait Tae, alors que sa voix était devenu encore plus grave dû au plaisir.

Je continuais donc à faire sonner ces deux syllabes parfaites, comme s'ils était une formule magique. Et, tandis que l'homme que j'aimais, laissais échapper des gémissements grave à chaque fois qu'il arrivait au plus profond de moi, mes mains quittèrent son cou pour toucher son corps sublime. Je les glissais sur son torse, le faisant frémir alors que je passais sur ses tétons durcis par la luxure. Puis, les remontant pour attraper son visage en coupe, avant de le dégager des mèches brunes qui couvraient ses si beaux yeux. Nos regard se croisèrent alors, et il prononçait silencieusement ces quelques mots :

— Je t'aime...

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Coucou ! J'espère que le chapitre vous plaît, il est un peu court mais j'essaye de revenir en douceur.

Prenez soin de vous,

Jadou 💜💜

Thanks Mom and DadOù les histoires vivent. Découvrez maintenant