Oikawa propose - force - à son colocataire, Akaashi, d'aller à la salle de sport avec lui.
Si au début Akaashi n'était pas très partant, il trouve rapidement une nouvelle motivation pour y aller.
Akaashi va désormais à la salle de sport pratiquement...
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-C'est un grand non.
-Oui ?
-Non.
-Si ?
-Qu'est ce que tu ne comprends pas dans non ? Il y a trois lettres, ce n'est pas compliqué, dit Tooru en réprimandant Bokuto. C'est non, tu n'essayeras pas de cuisiner.
-Mais je suis super doué en cuisine ?
-Bro, tu veux que je ressorte le cadavre du hamburger que tu as tenté de faire ? Enfin si on peut l'appeler comme ça. Et puis tu as réussi à faire brûler de l'eau 'Bo. De l'eau ! Dit Kuroo.
-J'ai juste dû monter la température, les pâtes ne cuisaient pas !
-Mais 'Bo pour qu'elles cuisent il faut peut être les mettre dans la casserole aussi ?
-Je me disais bien que j'avais oublié une étape fondamentale...
-Argument de plus pour ne pas te laisser cuisiner ! L'affaire est close ! Conclut Oikawa.
-Hum, si je peux me permettre. Toi non plus tu ne cuisineras pas Oikawa-san. Il faut vraiment que je rappelle à tout le monde ici présent à quel point tu as failli nous empoisonner ? A ce stade-là tu aurais même porté plainte contre toi même, Dit Akaashi en entrant dans le débat.
-Ok ok ok je sais ! Mais alors c'est ni moi ni 'Bo qui nous occupons de la cuisine les gars ! En tout cas je vais en profiter pour aller chercher une veste, on se les caille un peu ici.
-Va en chercher une dans ma chambre, il devrait y en avoir plein à ta taille, dit Kuroo.
-Nickel j'y vais.
-Mais je voulais cuisiner..., soupira Bokuto en commençant à montrer son côté déprimé.
-Oh non Bro, tu ne vas pas recommencer...
-Qu'est-ce qu'il se passe ? Demanda Akaashi en levant ses sourcils.
-Il est dans son emo mode encore.
Akaashi observa Bokuto à côté de lui qui était en train de se transformer en larve sur le plan de travail. Il ne l'avait encore jamais vu comme ça, lui qui d'habitude était si joyeux et si confiant. Cela lui faisait assez bizarre de voir un Bokuto au bord de la dépression qui commençait à fusionner avec la cuisine.
-Et qu'est-ce que vous faites en général quand il est comme ça ? Demanda Keiji.
-Rien, on attend juste que ça passe.
-Quoi ? Mais... on ne va pas le laisser comme ça ? Il ressemble à un ver de terre..., dit-il en lançant un regard compatissant à Bokuto qui bientôt disparaissait de la surface de la terre et qui ne ressemblait même plus à un être humain.
