Falling like the stars

Avant de commencer je voulais remercier  Emildash et July_baker  pour m'avoir inspirer et motiver à publier cette histoire <3

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D'abord, comme l'avais dit le chapitre précédent, c'est la fin de cette « histoire ». Est-ce d'ailleurs une histoire ou une sorte de « morale » ? Je ne pourrais même pas le dire réellement, mais sachez que je suis super contente de l'avoir écrite.

Ecrire cette histoire m'a fait vraiment du bien. Je ne l'ai pas écrite pour parler de moi, ni pour raconter l'histoire de quelqu'un en particulier. C'était surtout pour parler de vous, de nous, parce que je sais que si vous êtes là, enfin, si vous avez réussi à lire jusqu'ici ou si avez lu jusqu'ici c'était bien parce que ça vous correspondait ou ça parlait de vous d'une manière ou d'une autre. Ai-je raison ? Ne répondez pas en commentaire, répondez pour vous, dans votre tête.

Je ne sais pas si ce bout d'histoire a fait sourire quelqu'un, a rendu mal quelqu'un, ou a aidé quelqu'un. Personnellement – et je ne tiens à toucher la pitié de personne ni à me rendre « intéressante », mais je voudrais que tout le monde parle ou du moins dans sa tête ou pour soi – cette histoire m'a plus ou moins aidé, je ne sais pas si c'est en bien ou en mal, mais en tout cas, vous l'avoir partagé m'a fait du bien.

Avery Miler est un personnage fictif que j'ai senti vivre grâce à ce « livre ». Pour moi elle a le stéréotype de « l'adolescent », pour moi, elle nous représente le mieux.

Elle a raconté ses amitiés, ses amours – même s'il n'y a eu qu'une seule personne -, ses pertes, ses craintes, ses peurs, ses douleurs, ses doutes, ses moments de faiblesses, ses « crises », sa « dépression » et son orientation sexuelle.

En ce moment, je suis sûr qu'on est beaucoup à encore être perdu dans notre orientation sexuelle, tout comme notre orientation professionnelle mais je n'ai pas parlé de ça à travers Avery et ce n'est pas le sujet principal. Alors, pour en revenir sur notre sexualité, on est tous, plus ou moins perdu – après il y en a beaucoup qui ont la chance de ne pas ou plus l'être – et je trouve que notre personnage principal a assez bien représenté notre cas, enfin, plus ou moins. Je n'ai pas vraiment étendu le sujet là-dessus, mais elle avait tout de même l'air perdu, tout comme Nick et peut-être nous ?

J'ai écrit cette histoire dans le but de trouver un personnage qui nous représentait au mieux, en espérant que j'ai réussi.

Je sais qu'on est tous – à peu près – dans une mauvaise période de notre vie et on se demande où est-ce que notre monde ira. Et j'avoue, que je suis aussi dans le grand doute, et n'aillez pas peur de le dire si c'est aussi votre cas, ou alors, dites le dans votre tête, avouez-le à vous-même, ça vous aidera au moins un peu.

J'avoue, j'avais imaginé un très grand discours super intéressant mais au final je m'arrête au discours le plus minable de toute la planète, mais bon, ce n'est mieux que rien.

Je ne sais pas ce que cette histoire vous a apporté pour vous, mais j'espère que ça vous a atteint au moins un tout petit riquiqui peu.

Ai-je autre chose à ajouter ? Sûrement que : n'aillez pas peur de qui vous êtes, de vos choix et de la façon dont vous voyez votre monde. On est tous différent mais au final, on a peut-être un même fond. Et les jugements, il y en aura toujours, il faut juste apprendre à être au-dessus de tout cela. Apprendre à avoir confiance en soi, c'est la chose la plus difficile à combattre. En fait, je dirais, que notre plus grand défaut, c'est nous. Il y a peut-être beaucoup de jugements de la part des autres, mais le pire des jugements, le pire des rabaissements qu'on pourrait avoir ne vient tout simplement que de nous. On est plus atteint par notre propre jugement que par celui des autres. Alors, pour nous, pour toi, apprenons à prendre des décisions pour soi, à être égoïste, à s'aimer, à s'obliger à ne plus se descendre, à avoir confiance en soi – même si ça sera l'étape la plus difficile de notre vie – et à nous dire qu'abandonner ce n'est pas être faible, c'est juste être fatiguer de la vie. Et on doit sûrement tous l'être en ce moment, mais disons-nous qu'on pourrait toujours y arriver, qu'il n'est jamais trop tard pour y arriver.

Et pour vos proches – puisqu'ils sont souvent les plus gros influents de notre vie – dites-vous que peu importe votre choix, s'ils vous aiment vraiment, s'ils sont là pour vous. Tout d'abord, ils verront votre mal-être, j'en suis sûr, vous n'êtes pas seul, même si vous essayez de le cacher, ils le verront toujours. Et ensuite, s'ils disent vous aimer à un point, ils accepteront votre décision car le plus important c'est de trouver le bonheur, et à chacun sa façon de voir son bonheur. Alors si c'est comme ça que vous pensiez être réellement heureux, ils finiront par l'accepter.

N'ayez pas peur d'avoir votre propre vision de votre monde. On est maître de notre vie, et non eux. Chacun ses goûts, chacun ses choix, chacun ses décisions. Rien ne changera de toute façon l'amour que vous pourrez porter l'un pour l'autre.

PS : Vraiment à part, mais, toutes les chansons que j'ai mit en média sont des chansons qui m'ont aidé et inspiré pour écrire cette histoire. Et le titre hérite de l'un de ces chansons : falling like the stars by James Arthur.
D'ailleurs, une fois, dans les commentaires, Emi m'avait demandé d'où venait une certaine citation, c'était donc pour vous dire que toutes les citations en italique, souvent en fin de chapitre sont tirés des chansons en média.
Et pour finir, mise à part le premier et le dernier chapitre – qui est celui-ci – le titre de mes chapitres sont tirés des noms des étoiles les plus brillantes de la galaxie.

Voili voilà

Tâchez de bien vous porter et n'abandonner jamais, ce n'est pas parce que quelqu'un décide de prendre la voie d'Avery que ça veut dire que vous avez abandonné, non. Chacun... (et vous connaissez la suite)

re-PS : Je ne sais pas si j'aurais finalement dû publier ou pas cette histoire, à vous de me dire si c'était une bonne idée ou pas.

I love you so much Jadecyn ❤

Beaucoup trop de Love <3