sms GDCP

Pure enfer !!!

Après la séance shopping, chacun rentra chez soit en pensant à la longue journée qu'ils auraient le lendemain...

Le lendemain, ils arrivèrent chacun avec des barres noir sous les yeux et de très mauvaises humeurs, foutus cernes !
Flash back :

Biana ( et donc Fitz aussi ):

Je me lève et descends manger, Fitz me fait remarquer que j'ai des énormes cernes, je m'en doutais, j'avais très mal dormi à cause de l'inquiétude que m'apportais ma meilleure amie, Sophie. Je le regarde et tressaille, je vois mon frère presque pire que moi avec les cheveux tout ébouriffés. Je sourit et lui dit qu'il n'est pas mieux. Il se regarde dans le miroir et est surpris. Il va alors dans sa salle de bain. Je vais dans le salon et maman me demande pourquoi ai-je l'air si épuisé. Je lui réponds que je vais bien en passant mon chemin. Je vais manger et croise mon père qui me dit « mal dormi ? » en parlant de l'état de mon visage, je fais mon air exaspéré et part en direction de la cuisine. En mangeant j'entends Fitz se prenant les mêmes remarques que moi. Il arrive et comprend que j'ai eu pareil que lui, il lève les yeux au ciel et on mange en silence. [...]

Linh ( et donc Tam aussi ) :

Je me lève et vais réveiller mon frère qui est déjà réveiller et qui a un visage de mort vivant, sa tête fait presque peur, étonnamment je vois son visage prendre un air de surprise en me voyant alors qu'il sait que je vient le réveiller tous les jours. Il me regarde et me demande si ça va, je ne comprend pas et vais devant le miroir. J'ai exactement la même tête que lui ! Oh la la ! Je fonce me doucher et tente en vain de déguiser mon visage affreux pour camoufler cette air de chien battu. Je vais dans le salon, vaincue par cette malédiction. Mon frère est là à se regarder dans le miroir et est d'extrême mauvaise humeur, il a découvert sa tête en se brossant les dents et n'a toujours pas réussi a faire disparaître cette mocheté sous ses yeux, que j'ai aussi. [...]

Keefe :

Je me réveille et aperçois Ro, je lui dit bonjour et la voit tenter de camoufler son rire. Je me retourne et lui demande ce qui est drôle. Elle me réponds alors de constater par moi même en me pointant du doigt la salle de bain, je m'attend à ce qu'elle ait renversé tous mes savons, verser l'eau jusqu'à ce que ça déborde ou pire mais lorsque j'arrive, rien de tout ça n'est arrivé, je m'apprête à me laver le visage quand j'ai un mouvement de recule. Mon beau visage, roi des visages, que j'aime tant, que t'es-il arrivé ? Quelle malheur t'as encore frappé ? Je me retourne et aperçois Ro me faisant comprendre que ce n'est pas elle. Je comprend que ma nuit s'est avérée être une vraie catastrophe. [...]

Les autres ont eu a peu près le même réveil.

Fin du flashback

Ils se retrouvèrent donc chacun arborant casquette, capuche, écharpe, chapeau et tête baissée. Ils se comprirent directement en voyant leurs visages affligés. Ils avancèrent alors en meutes pour cacher leurs apparences gâchées . Ils accompagnèrent petit à petit chacun dans sa salle jusqu'à ce qu'il ne reste plus que Keefe qui accompagne Fitz, et enfin plus que Keefe.

Pdv de Keefe :

( petite infos hors histoire : la scène qui suit, les guillemets entourent les pensées et non pas les paroles )

« Comme ça m'étonne, dès qu'on a commencé à accompagner les gens dans leurs salles je savais que ça allait finir comme ça ! En même temps cette foutu prof d'Histoire aurait pu mettre sa salle un peu plus proche de l'entrée ! Oh et zut alors ! J'ai plus qu'à aller en cours tout seul avec tout ces yeux qui me fixent ! »

Je fît cela mais au bout de cinq minutes :

« Argghhh !!!! J'ai l'impression d'être Sophie au début de l'année à être fixé au moindre geste ! Et maintenant je suis perdu à force d'être oppressé par tous ces gens ! Tout ça à cause de cernes sérieux !!! Vous avez jamais vu ça ou quoi ? Ça s'appelle des cernes et ça apparait quand on dort mal, c'est pas sorcier !»

La sonnerie retentit, mince mince mince ! Elle est où cette salle ? Je m'approche d'un première année et lui demande mon chemin.

«  Quitte à avoir la honte, autant que ça serve à quelque chose ! »

Le premier année est étonnée que je ne connaisse pas mon chemin mais vu qu'il avait une heure de libre, il m'emmène devant ma salle. Je le remercie mille fois puis me dit que finalement, ce n'était pas si compliquer de demander de l'aide et que je devrais le faire plus souvent.

J'entre et me prend un retard, mais comparer à toute ces heures de colle, ce n'est rien ! Je me retiens de pouffer lorsque je vois un autre camarade arriver et être paniqué à l'idée d'être en retard. [...]