La belle et la bête.

Chapitre 8.

( A lire avec la musique dans média ;) )

Oh mon dieu. L'adrénaline pulse dans mes veines. Christian m'embrasse dans le cou. Entre deux baiser il me murmure

J'ai envie de ça depuis le moment ou je t'ai vu.

Tout en moi se raidit. J'ai chaud. Il me tire les cheveux en arrière m'obligeant à le regarder. Ses yeux gris rencontrent les miens. En ai-je vraiment envie ? Je veut dire, je ne le connaît pas. Et c'est mon patron quoi merde. Il a les yeux brûlants. Il se met à genoux, tout en m'embrassant le long de ma colonne vertébrale. Il me mord les fesses, ce qui me fait gémir. C'est tellement intense, tellement enivrant. C'est horriblement bon. Il me retourne encore une fois, et je suis face à lui. Et cette fois ci, il m'embrasse le ventre, les seins. Il torture mes tétons. Oh mon dieu. Je ne peut réprimer un gémissement. Tout en moi tremble, lorsque sa bouche touche ma peau. Ses mains parcourent mes hanches. Je pose mes mains sur ses épaules, j'ai la tête en arrière. Et il s'attaque au point le plus sensible. Au moment ou il m'embrasse ici, je ne peut m'empêcher de le griffer. Mes ongles rentre dans sa peau, il pousse un petit cri de douleur. Il me regarde. J'ai les yeux à moitié fermés, mais je peut apercevoir son sourire sur ses lèvres.

On dirait que je fais bien mon job.

Je ne peut répondre. Tout mes sens sont en ébullition. Et il recommence sa torture.

Soudainement, il se lève, et sort de la douche. Quoi ? Il a pas le droit ! Me raille ma voix intérieure. Je suis comme une conne dans la douche. Quel enfoiré. Mais il revient 3 secondes après, avec un petit sachet entre les mains. Je compris immédiatement.

Vaut mieux jouer la sûreté non ?

Il caresse sa lèvre inférieure avec son index tout en me toisant. Je suis haletante, contre le mur. l'eau dégouline sur moi. Il se rapproche de moi, porte le sachet entre ses dents, et le déchire. Tout mes poils sont au garde à vous. Il enfile le préservatif, rapidement. Et me colle contre lui. Je sens son érection contre mon ventre.

Met tes jambes autour de moi.

Il à une voix tellement sexy. J'exécute son ordre. Il me regarde. Oh putain. Et lentement il s'introduit en moi. Bordel. Je crie. Je sens son souffle contre ma gorge. C'est divin. Il se retire, et s'enfonce brutalement. Cette torture est exquise. Il murmure mon nom entre deux grognement. j'enfonce mes doigts dans sa chair à chaque mouvement. Un gémissement rauque s'échappe de sa bouche. Il me dévisage, et me couvre de baiser. J'ai les yeux fermés, jouissant à chaque sensation. Il accélère le rythme, et mon ventre s'emballe. Et j'explose autour de lui, à m'en faire exploser le crane. Il capitule aussi, en prononçant mon nom. C'était délicieusement parfait. Puis on reste tout les deux collés, lui toujours en moi. Il à la tête sur mon épaule. Son souffle provoque en moi des sensations dans tout le corps. Après de longues minutes comme ça, il me repose par terre. J'ai les jambes en coton. Je me tient au mur pour ne pas tomber. Il éteint la douche. J'ai un soupçon de regret. Il prend une serviette, et me la passe autour du corps. Je ne peut plus rien dire, je suis tellement fatigué. J'ai les yeux à moitié fermés.

Tout va bien Caroline ? Il me dévisage, inquiet

Sa voix est réconfortante. Je hoche de la tête. Il me prend comme une princesse, et m'emmène dans ma chambre. Il me dépose doucement sur le lit, et passe un peignoir en coton très doux autour de moi, et m'allonge. Il s'agenouille pour être à ma hauteur, et fait courir un doigt sur mon visage.

-Merci pour se moment Caroline. C'était parfait. Maintenant dort.

Je souris à l'entente de ces mots. Et je ferme les yeux. Au fond je suis sur qu'il est gentil. Il se cache derrière les parures d'un homme froid et distant, mais ce n'est qu'un homme solitaire.