Mon Mafia Boss

-CHAPITRE 17-

"La vie, c'est une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre"

-Albert Einstein

Hi guys!

Comment allez-vous aujourd'hui?

J'espère que vous avez passé un bon début de semaine!

Alors avant de commencer ce chapitre, je tiens à vous informer que je ne mâche pas mes mots lorsque j'écris.

Ce chapitre contient de la violence physique et mental! ( assez soft mais quand même)

Encore une fois il s'agit d'une dark romance alors certains thèmes abordés peuvent être choquants!

PS: Je vous ai mis une chanson en média mais je n'ai pas eu le temps de bien vérifier si elle collait parfaitement avec le chapitre ;)

Voilà :)

Maintenant je vous souhaite une :

BONNE LECTURE!

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Alors que les deux grosses portes se fracassent dans un bruit assourdissant contre les parois métalliques du conteneur, j'observe du coin de l'œil tous les soldats se mettre sur leurs gardes.

Tous armés jusqu'aux dents entrent à pas de souris en se faufilant sur les murs en métal du conteneur.

Les mafieux sont vengeurs, persécuteurs et fiers. C'est leur fierté qui les a fait venir ici. Aucun mafioso n'accepte d'être traité de la sorte.

Je m'aperçois qu'Alan et Dean, armés chacun d'un HK416, une arme particulièrement performante, partent vers la gauche tandis que je me faufile vers la droite ne voulant pas suivre les deux jeunes hommes et plus particulièrement Dean.

Sa tête blonde me donne la gerbe et les regards pervers qu'il me lancent constamment me donne l'envie irrésistible de lui arracher une à une ses testicules. Bien lentement.

Étrangement, je remarque que le conteneur est vide. Mis à part quelques caisses qui se trouvent au milieu, il n'y a rien d'alarmant.

Tout ceci est beaucoup trop calme.

Trop vide.

Je jette un rapide coup d'œil aux deux autres hommes présents dans le conteneur et ceux-ci m'ont l'air tout aussi perturbés, dans l'obscurité.

Où sont donc passé tous les coups de feu ? Les cris de guerre ? Victoria ? Le sang?

Je me doute fort que la femme au cheveux bruns est déjà sûrement six pieds sous terre mais peu importe. L'étrange atmosphère qui règne entre ces quatre murs ne me dit rien qui vaille.

Tout est bien trop calme.

Beaucoup trop calme.

Et mon instinct me prévient que quelques choses cloche. Que se passe-t-il ?

La couleur verte du conteneur semble briller sous la lumière des aurores du matin.

À chacun de mes pas, j'entends doucement mes bottes buter contre le métal. J'ai beau m'être vêtue d'une tenue parfaite pour une mission de ce genre, mes souliers sont à revoir. Pas assez discrets.