Mon Mafia Boss

-CHAPITRE 25-

👀

HELLOOOO

J'espère que vous allez bien !

On se retrouve avec un nouveau chapitre hehe

j'espère qu'il vous plaira 💕

( D'ailleurs merciii pour les 59k et 2k votes c'est incroyable !!!! je vous love trop)

( ps: la note de la fin est importante^^)

TW: torture

BONNE LECTURE

📖

Quatre?

Cinq?

Seulement quelques mètres me sépare de lui. Pourtant cela n'empêche pas ses yeux de fauve de me poignarder d'une façon électrique, derrière son air condescend.

Dans son regard ténébreux, il y a toujours ce petit côté électrique. Comme si avec rien qu'un simple regard de sa part, il pouvait connaître mes moindres secrets, mes moindres défauts, mes capacités, mes fantasmes et bien d'autres choses que seule moi ai le droit d'en connaître la connaissance.

Il est déstabilisant. Horriblement déstabilisant mais pourtant me voilà qui hausse un sourcils devant lui en remontant un côté de ma bouche, en un sourire charmeur qui relève la guerre sanguinaire que nous nous sommes lancé.

À mes côtés, les gardes saluent respectueusement leur supérieur hiérarchique en baissant légèrement la tête, tels des robots qui ne peuvent être guidés que par une seule et unique manette.

Lissandro. Cet homme. Mon tortionnaire.

Habillé dans un beau costumes qui épouse parfaitement sa silhouette athlétique.

Je baisse mon regard plus bas, et observe la façon dont son bas de costume droit lui donne cet air si impérial, comme si il possédait la terre entière.

C'est l'image qu'il renvoie à tous ses subordonnés. Dans cette façon de toujours apparaître soigné et confiant, il leur prouve qu'il est capable de gérer ce conglomérat à lui seul.

Après tout, il possède également une grande entreprise de ce que j'ai compris.

Je gagnerai des millions, je ne peux m'empêcher de penser.

-Capo, dit solennellement le garde tout en mettant derrière lui son arme massive, pour lui témoigner son respect. Que souhaitez-vous? Ose-t-il demander, le dos droit, le regard dur.

Une seconde s'écoule.

Puis deux.

Et bientôt pendant la moitié d'une minute, nous attendons tous une réaction. Il passe doucement sa langue sur ses lèvres, faussement songeur avant de se retourner nonchalamment, nous exposant son dos et son silence.

Pourtant son silence nous cloue la bouche, enfonce nos pieds entre ses chaînes, et nous crispe le dos.

Je suis sur le point de rétorquer, quand une seconde fois la main de Vincent se pose sur mon épaule, elle est chaude et rugueuse. Beaucoup trop intrusive sur mon corps.

-Mademoiselle Jess, vous êtes blessée, me lance-t-il, ses sourcils ne formant à présent qu'une ligne, reflétant son inquiétude.

Je serre les dents en le dévisageant, la tête à demie-tournée vers lui, le corps orienté vers cet aura tentatrice.