Xiao X aether , Une Rencontre.

Chapitre 5

PDV Xiao :

Le matin est arrivé. Malheureusement, quand je me suis réveillé Aether n'était pas là. Peut être était-il à la cuisine ?

Je pris le temps de me réveiller et descenda dans la cuisine.

- Yanxiao : Bonjour mon petit. Tu viens chercher du tofu aux amandes ?

- Xiao : Non, je venais vous demandez si vous n'aviez pas vu Aether. C'est le jeune garçon aux cheveux blonds avec une tresse.

- Yanxiao : Mmh ? Ah , lui ! Non je ne l'ai pas vu. Demande peut être à la patronne ?

- Xiao : Très bien.

C'était étrange. Je sorti de la cuisine et alla voir la patronne.

Xiao : Bonjour. Vous n'auriez pas vu Aether ? Je ne le trouve pas.

Verr Goldet : Non desolé je ne l'ai pas vu.

Xiao : Très bien.

Il est encore partit ? Pourquoi ? Il n'a pas aimé la nuit passée ensemble ?

Je retourna dans ma chambre sur ces pensées et observa la pièce pour chercher un indice sur son départ.

Xiao : La fenêtre est ouverte ? Elle ne l'était pas hier. Il c'est vraiment enfuit ?

Il est encore partit. Je vais lui faire payer ça.

PDV Aether :

Je pensais me réveiller auprès de Xiao mais à mon plus grand étonnement je n'étais plus à l'auberge. Du moins , je crois. Lorsque j'ai ouvert les yeux j'étais dans une pièce peu éclairée sur un lit de paille. Mes mains étaient attachées et mon pied droit relié à une chaîne qui était dans le mur. Xiao m'a enfermé ici ? Ou quelqu'un d'autre ? Un kidnapping ? Comment j'ai pu ne pas me réveiller ?

J'ai déjà tenté de me libérer grâce à mes pouvoirs mais ça n'a rien changé.

J'observai l'endroit où j'étais enfermé jusqu'à ce que j'entende des bruits de pas se diriger vers ma cellule.

??? : Oh , tu es réveillé ? C'est pas trop tôt !

Aether : Qui êtes-vous ?! Que me voulez-vous ?

??? : Haha ! Tu es chanceux , je vais répondre à tes deux questions. Je m'appelle Tartaglia , je suis le 11ème Exécuteur des fatuis. Et ce qu'on te veut ? Ton peuple.

Aether : Les fatuis... Attends. Tartaglia ? Je t'ai déjà vu avec ma sœur sale rouquin !

Tartaglia : Heureux que tu me reconnaisses ! C'est vrai que tu ressembles à ta sœur. Que c'est triste , elle qui te cherche désespérément alors que tu es là avec moi attaché misérablement. Le prince de la nation ? Balivernes. Tu n'es qu'un faiblard.

Je le regardai d'un regard noir. Je ne pouvais rien faire d'autres. Il avait raison. Mais je ne peux pas le laisser se servir des habitants de Khaenri'ah ! Je dois me libérer et-

Tartaglia : Assez parler ! Maintenant que tu es réveillé , on va te préparer.

Aether : Me préparer ?

Tartaglia : Bien sûr ! On va te présenter à ton peuple et leurs montrez à quel point tu es fragile ! Ils se rangeront de notre côté et t'abandonneront comme une vulgaire arme rouillée.

Tartaglia ouvrit ma cellule et entra dedans sans oublier de refermer derrière lui. Il s'approcha de moi qui était assis sur le lit de paille. Je me méfiais. Que voulait-il dire par préparer ?