Chapitre 17

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PDV LAURIANA

Sa main étais toujours posé sur ma taille m'attirant vers lui sont visage se rapprochait un peu plus du mien sentant son souffle s'abattre sur mon visage et je me fais violence pour ne pas le repousser. De temps à autre mes yeux se baladait essayant de voir les garçons sortir, mais rien et en plus Ignacio ne parlait plus dans mes oreillettes.

Et à chaque fois que cette lèvre s'approchait de moi, je reculais de deux pas, ne voulant pas l'embrasser, mais à chaque fois que je reculais, je ne pouvais plus faire un pas, car c'était le mur derrière moi.

- qu'est-ce qu'il y a beauté, on n'assume plus c'est dire ? Me demande-t-il, un sourire narquois sur le visage.

- c-c'est pas ça je suis marié et-

- ton mari t'a laissé toute seule avec un homme que tu ne connaissais pas alors, il s'en fout de savoir si tu le trompes ou pas, je me doute ? Dit-il avant de poser c'est lèvres sur la peau de mon coup.

- non, je ne pense alors reculer s'il vous plaît.

Un rire sadique sort de sa bouche me donnant froid dans le dos.

- tu m'as chauffer me forçant à te rejoindre dehors et maintenant tu te défile ? mais c'est pas grave car tu va te faire pardonner , dit t'il

« mais ce n'est pas grave, car tu vas te faire pardonner »

« mais ce n'est pas grave, car tu vas te faire pardonner »

« mais ce n'est pas grave, car tu vas te faire pardonner »

« mais ce n'est pas grave, car tu vas te faire pardonner »

Cette phrase résonne dans mon cerveau comme un éco, j'ai l'impression l'avoir déjà entendu quelque part et cette voix aussi, j'ai l'impression l'avoir déjà entendu... mais où ?

Cette nuit, c'est là que je l'ai entendu quand les cinq hommes m'ont agressé, comment... ? Mes yeux s'ouvrent en grand, sentant l'humidité s'y installer, pourquoi ma peur vient-elle de se multiplier tout d'un coup ? Mon instinct de survie me demande de partir me criant de rentré à l'intérieur et que ce que les trois garçons font ne compte pas plus que moi, mais, mes pieds refusait de boucher.

- lâche-moi ! s'il te plaît.

- pardon ?, dit-il avant de se déplacer et embrayer mon bras avant de mettre une pression déçu pour me coller une nouvelle fois à son corps.

- lâche-moi ! J'essaye de dégager mon bras, mais c'est peine perdue, il remet une pression à t'elle point que mon visage se tord de douleur puis me balance par terre puis m'assène un coup de pied dans le ventre, puis un deuxième et un troisième et je me tords de douleur tellement j'ai mal ça fait mal.

- sale pute ça t'apprendra, personne ne me dit non encore une femme, crie-t-il.

Je ne réponds pas et me concentre sur la douleur que me fait mon ventre, une douleur horrible, mes yeux s'embuent de larme et ma vue devient floue, il s'accroupit à mon niveau et attrape ma nuque avec une t'elle brutalité qui m'enlève un gémissement de douleur sa poigne de main sur ma nuque me forçant à le regarder dans les yeux.

I WANT YOUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant