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« Mets-les dans ta bouche ma chérie... Et dorlote mes enfants. »
« Hein ? » Tu clignes des yeux vers Sanzu qui t'ignore et touche son nez blessé alors qu'il siffle légèrement de douleur, la culpabilité creuse ton cœur et tu touches doucement sa main. Ses yeux bleus négligents te regardent, sentant une vague de chaleur alors que tu te penches vers son visage, ton cul frottant légèrement sur ses cuisses puisque tu étais confortablement assise sur ses genoux.
« Est-ce que ça fait très mal ? » Ta voix tremble, en ressentant sa douleur alors qu'il se retrouve complètement abandonné à toi, sa tête bougeait dans un doux hochement de tête.
« Fermez les yeux monsieur Sanzu... Je vais vous faire un petit tour de magie. » Murmures-tu alors qu'il fermait les yeux sans réfléchir à deux fois, ton pouce frotte des cercles sur son nez alors que la rougeur et la partie enflée commencent à s'estomper sans laisser de trace derrière. Un petit sourire se courba sur tes lèvres charnues en voyant son nez complètement guéri, tu t'écartais et embrassais ses lèvres fines prenant Sanzu au dépourvu et il ouvrit les yeux, ses iris s'élargissaient à la douceur de tes lèvres charnues.
Sans rien dire, sa paume glissa rapidement derrière ta nuque et attira ton visage près du sien avant de réclamer à nouveau tes lèvres, cette fois il t'embrassait si avidement.
Les deux gardes fixent leurs yeux sur la route, aucun d'entre eux n'ose regarder dans le rétroviseur, connaissant le tempérament de Sanzu et le fait que tu es maintenant la Dame, ils ne peuvent pas oser te manquer de respect.
Sanzu fit tournoyer sa langue dans ta bouche, goûtant la douceur de ta salive tandis que ta main était pressée sur sa joue et l'autre sur son col. Sa main libre s'est déplacée vers ton sein à l'intérieur de son manteau pendant qu'il le pressait doucement pour sentir sa douceur, et aussi il aimait la taille. Pour lui, rien n'était plus paradisiaque que de gros seins et un gros cul, te gagner comme sa femme, il n'a pas refusé à première vue, mais il attendait en quelque sorte plus de sentiments de ta part que de la luxure.
Un doux gémissement s'est échappé de tes lèvres entre le baiser alors qu'il continuait à les mouler, tu le sentais aspirer ta respiration, mais il s'éloigna alors que des filets de salive se libéraient, ses yeux bleus s'ouvrirent lentement pour te regarder, tu es devenue rouge d'embarras puisque tu n'as pas prévu ça, tu étais davantage coupable de tes actions antérieures, mais ça a conduit à une séance de baisers.
Ses yeux ne quittent pas les tiens alors qu'il parlait avec autorité « Arrêtez la voiture dans une ruelle et descendez tout de suite ! »
Tu t'es figée à ses paroles en pensant qu'il te parlait jusqu'à ce que tu entendes les deux hommes parler en même temps. « Compris, boss. » (ndt : Y/N a mal interprété ça parce qu'en anglais ils utilisent le même pronom pour s'adresser à une seule et plusieurs personnes.)
