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« Bien, bien... Lequel d'entre vous a essayé de cibler ma femme, hein ? » Demanda Sanzu avec un sourire narquois sur les lèvres et ses yeux bleus négligés expriment un feu déchaîné alors qu'il brandissait son Katana qui dégoulinait de sang, son costume et ses joues étaient également teintés de sang, un sang qui n'était pas le sien.
« Bo-boss ce n'était pas nous ! On était menacés ! » L'un des hommes, le chauffeur plus précisément a plaidé alors que son bras saignait. Il a essayé de se protéger lorsque Sanzu a levé son Katana pour le frapper tout à l'heure.
Le rosé haussa un sourcil en marchant vers le traître, oh combien il détestait les trahisons. Léchant sa lèvre inférieure, sa poitrine vibra d'un rire profond alors qu'il commençait rapidement à rire comme un fou.
« Ahahhahahahhah... Qu'est-ce que tu viens de dire ? » Il plissa les yeux et cessa brusquement de rire, la pointe de son Katana embrassait le sol dans un mouvement rapide, il leva l'épée avant de poignarder l'homme en pleine poitrine, le cœur battait contre la lame du Katana alors que le sang jaillissait dès que Sanzu a sorti l'épée. La bouche de l'homme s'ouvrit, essayant de crier mais aucun mot ne put être formé. Sanzu continuait à poignarder le même endroit, coupant son cœur en morceaux, il écrasait complètement la petite chair d'une manière méconnaissable.
Un rire fou s'échappe de sa bouche alors qu'il lèche la petite quantité de sang près de ses lèvres. Une fois qu'il eut terminé, il piétina le cadavre déformé. Ses lèvres se retroussèrent de dégoût alors qu'il cherchait ses clés dans la poche du traître avant de se diriger vers sa voiture en fredonnant une chanson.
Dès qu'il ouvrit la portière et se glissa dans le siège du conducteur, il regarda son propre reflet dans le miroir, ses joues devinrent rouges vifs en se rappelant de la douceur de tes lèvres et de ta chatte. Il pouvait sentir son pantalon se resserrer à l'idée que tu le baises et que tu le domines au lit. Il n'a jamais pensé une seule fois qu'une femme pouvait le rendre si agité, c'était inattendu mais tu n'étais pas une femme, tu étais leur femme, sa main s'est déplacée vers son nez en se souvenant de ton toucher mais ses sourcils se sont froncés en se penchant plus près du miroir, pas une seule égratignure ou rougeur.
'Fermez les yeux monsieur Sanzu... Je vais vous faire un petit tour de magie' ces mots résonnaient dans sa tête alors qu'il était sacrément sûr que l'os de son nez s'était craqué quand tu lui as claqué ton front.
« Putain, comment elle a- attends ! Je ne suis même pas drogué alors comment- putain j'étais sûr que j'avais mal au nez depuis que ça saignait- Argh !! Je devrais informer Mikey et garder un œil sur elle maintenant ! » Il était confus et effrayé en même temps, et si tu n'étais pas un être vivant ?
