Hello ma team, ça-va? 🌹
Comme le chapitre précédent vous parle à fin seulement... 🤧
(Le chapitre est assez long je l'ai même coupé parce que sinon ça allait faire trop.)
Je vous laisse avec la suite mes pops stars ! 🥡
(⚠️DISCLAIMER: Les filles, il y a certains verset du Coran dans le chapitre, ne lisez surtout pas dans les toilettes svp ! ⚠️)
Bonne Lecture! 📖
Xoxo - Iamkunafa. 🍓
TW: deuil.
♞
Quelque temps avant l'appel d'Asmar.
NAFIR.
La journée avait très mal commencé.
Les jumeaux ne sont pas rentrés cette nuit, et Nizar non plus. J'ose espérer qu'ils se sont joints tous les trois.
Il y avait autre chose qui me titillait, c'était le retard d'exécution de la mort de l'homme qui siégeait à la chambre du conseil omanais. J'avais besoin qu'il périsse, vite, afin de débloquer le coup d'État que je préparais depuis huit ans.
Je devais également recontacter Néjib car il était temps de secouer ce pays en entier afin de mettre ma menace à exécution.
La journée se déroulait très mal quand depuis huit heures du matin Taimim n'avait cessé de hurler dans la maison.
Et même quand je suis revenu de ville, il pleurait encore.
Djilali entre dans la maison en le tenant dans ses bras. Ses tentatives pour le bercer sont restées vaines. Je dépose mon café sur l'îlot central de la cuisine, referme le journal que j'épluchais dans l'espoir d'avoir enfin la nouvelle que j'attendais. Mes pas me mènent à Djilali, je tends les paumes pour les passer sous les aisselles de Taimim.
Ses petites mains se posent sur mes épaules, son visage tortillé par la tristesse cherche autour de lui quelque chose. Mais il finit par me regarder moi. Ses larmes inondent ses grands yeux noirs. Je sens que son corps est brûlant en le coinçant contre ma hanche, je lui enlève son t-shirt.
Je reviens dans cette cuisine.
Ses hurlements de douleurs proviennent d'une peine que je suis conscient d'avoir provoquée.
Mes yeux se lèvent instinctivement vers les escaliers à l'étage.
Pensait-elle vraiment que j'aurais été capable de la violer...
L'idée me remonte dans l'œsophage.
Mon paradoxe à son égard m'empêche de faire preuve de rationalité.
Notre dernière conversation s'impose dans ma tête, je n'arrive à penser à rien d'autre que cette peur qu'elle ressent dans l'idée de s'éprendre de moi au point d'en risquer ma vie. J'ai été aveuglé par ma propre stratégie à en négliger mon approche. J'ai manqué de subtilité et ce baiser nous a condamnés...
Tous les deux.
Une compression se fait dans ma poitrine à chaque fois que je pense à elle, ça me fait tiquer, je baisse les yeux sur Taimim. J'arrange les mèches bouclées qui lui collent au front. Soudainement, une quinte de toux le prend, sa petite langue sort de sa bouche, je fronce les sourcils en le regardant avec attention.
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NAFIR, le magnifique.
AdventureJ'étais le prince héritier du trône d'Oman. Accusé à tort, on a fait de moi le traître de la couronne. Je suis resté enfermé sept années dans l'ombre de la plus noire des prisons d'Oman, et le temps aura suffi à développer ma haine envers mon propr...