CHAPITRE 3

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⚠️ IMPORTANT : j'ai décidé de changer mon temps de conjuguaison, j'écrirai dorénavant au passé simple parce que je suis plus à l'aise ainsi et cela aura un sens par la suite.Je veillerai à réecrire mes premiers chapitres pour changer cela.

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L'esprit encore enveloppé dans les limbes de Morphée, je remuai sans discontinuer le liquide noirâtre dans ma tasse d'un geste désintéressé.

Je n'avais alors pas remarqué la présence de ma colocataire qui s'empressa de faire un signe de la main devant mon regard perdu dans le vague.

Ymir : Il faut se réveiller la Belle au bois Dormant, tu as entraînement de tir ce matin, annonça-t-elle en croquant dans une tranche de pain fraîchement tartinée.

Je poussai un soupir empli de désespoir au moment où mon abdomen me rappela à l'ordre sur la raison pour laquelle je n'étais pas dans mon assiette en ce jeudi matin.

Moi : Je sais pas si je vais tenir la journée franchement, truc de fille, enfin t'as capté.

Un air compatissant prît immédiatement place sur les traits de la brune aux tâches de rousseurs qui s'empressa de répondre.

Ymir : Si vraiment tu le sens pas, je te passerai les cours ok ? rentre te reposer si tu as besoin.

Un franc sourire étira mes lippes à l'entente de cette phrase qui me rappelait à quel point notre amitié était précieuse.

Moi : C'est adorable merci Ymir mais je voudrais vraiment pas rater celui de 13H30, répondis-je en avalant une gorgée de café.

Ses sourcils se froncèrent pendant qu'elle devait certainement se demander de quel cours je parlais.

Tout à coup, une lueur s'illumina dans ses iris noisettes.

Ymir : Ah ouais, le séminaire sur les dialogues avec les criminels et tout.

Je hochais la tête pour lui confirmer avant d'ajouter.

Moi : Celui-là même. Ah oui et mon frère doit passer me voir en fin d'après-midi.

Mon amie roula ses yeux dans leurs orbite tout en se hâtant pour terminer son petit-déjeuner express.

Ymir : Préviens-moi quand il arrive, que je l'accueille à bras ouverts, lança-t-elle non sans une pointe de sarcasme.

Moi : Rho t'es dure Ymir sérieux !

Ymir : Quoi ? s'exclama-t-elle en riant, il te couve comme du lait sur le feu, c'est trop.

Je ne pu réprimer un léger rire au vue de la réaction spontanée de mon interlocutrice.

C'est en secouant la tête que j'attrapai ma tasse pour débarrasser.

Après cela, je me dirigeai dans ma chambre où je m'empressai d'enfiler un pantalon cargo noir assorti d'un teeshirt blanc dont la marque Céline en lettres majuscules était inscrite sur la poitrine.

Echec Et Mat - Armin X Reader [EN PAUSE]Where stories live. Discover now