Chapitre 4

176 10 7
                                    

Chapitre 4 : « Mon coeur se serre et je ne peux m'empêcher de caresser les joues meutries du blond. »

Ce matin, le réveille sonna très tôt pour moi. A peine 5h00 du matin que je devais déjà me préparer pour cette dure journée. J'éteignis l'alarme de mon téléphone et vérifia au passage ma messagerie : aucun nouveaux message. Je déposa une bise sur la joue de celle qui partage mon lit puis me motiva à ma façon à commencer cette journée.

Une douche d'eau brûlante pour commencer. Lorsque je me sécha, j'entendis de la chambre le réveille de Kyoka. Je souris bêtement. J'enfile une chemise blanche simple avec un pantalon bleu marine à coupe droite. J'essaie de mettre de l'ordre dans ma chevelure quand mon petit pois préféré entra dans la pièce. Elle s'approcha et se mit sur la pointe des pieds pour m'embrasser le cou. Par respect - et aussi parce que c'est le matin - je ne fis aucune remarque sur sa petite taille que je trouve adorable. Elle baille à s'en décrocher la mâchoire et ses cheveux sont autant en bataille que les miens. Elle se frotte les yeux puis me regarde.

Kyoka : T'as pris une douche si chaude que t'as ta peau qui est devenu rouge l'écrevisse.

Shoto : Bientôt je deviendrais si rouge qui tu ne sauras même plus quand je rougis en ta présence princesse.

Elle me décroche un sourire puis se déshabille pour entrer à son tour dans la cabine de douche. Une fois que j'estime que mes cheveux sont un peu moins en bordel je m'échappe de se sauna pour piquer ce qui va me servir de petit-déjeuner. Une pomme. J'attrape une tasse et mit en route la machine à café. Je sors une tartine et de la confiture que j'étale minutieusement. J'emporte verre du jus d'orange, café et tartine sur la table du salon et allume la télé tout en finissant ma pomme. C'est le moment qu'à choisit la destinataire de ce charmant petit déjeuner pour débarquer dans la pièce.

Kyoka : Chaton je te l'ai déjà dis que c'était pas la peine que tu te lèves plus tôt pour me préparer mon repas, je sais le faire je suis grande.

Shoto : Ose me dire que ça te fais pas plaisir.

La jeune femme soupire puis m'embrasse la joue pour éviter de gâcher son maquillage fraîchement fait.

Kyoka : Bien-sûr que ça me fais plaisir mais--

Shoto : Chut, je lui dis en mettant mon index devant sa bouche, tous ce qui te fais plaisir me fais plaisir. Donc logiquement, je pense à moi.

Peu convaincue, elle me regarde mollement mais s'installe finalement sur le canapé. Elle me fait un de ces fameux regards qui m'a fait tomber amoureux d'elle puis s'intéresse à nouveau à son émission. J'en profite pour enfiler ma veste et mes chaussures et partir en vitesse dans ma voiture, bien que je ne sois pas spécialement en retard.

Bien sûr, une journée ne commencerais pas bien si je n'oubliais pas mes clefs à l'appartement ce qui me valu un allée-retours pour les chercher sous le regard amusée de la violette.

Shoto : Te moques pas petit pois, lui lançais-je avant de courir vers ma voiture une fois mes clefs bien en main.

Sur la route, je reçu une notification sur mon portable. J'attends d'être arrivé sur le parking de la prison pour vérifier.

Momo - 6h59

Bonjour, bien-sûr pas de soucis. J'ai moi-même quelque chose à vous dire à propos de l'arrangement entre nos familles. L'heure me correspond bien et le lieu aussi. Je n'ai plus qu'à vous souhaitez une agréable journée, à ce soir.

Shoto : C'est la première chose que tu dis qui m'arranges depuis que je te connais, me dis-je à moi-même.

Je partis vers la salle de repos du personnel de la section FS, un sourire aux lèvres. Sur le chemin, je pensais à pas mal de truc. Déjà, objectif, trouver le mec à Mei ici. Ensuite, je m'occuperais de Momo ce soir. Et surtout la chose la plus importante ; ne pas faire de gaffe avec Bakugo aujourd'hui.

CASIER 77 - TodobakuWhere stories live. Discover now