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-Isaiah-

Poste de police 📍

Comme d'habitude le Boss veut me voir dans son bureau. Heureusement qu'on a fait des progrès sur l'affaire.

Boss: Ça va fiston?

Moi: Ça va monsieur et vous ?

Boss: Ça va ça va . J'ai vu que vous aviez fait beaucoup de progrès sur l'affaire, je savais que je pouvais vous faire confiance.

Moi: Merci monsieur, on va regroupe le plus des preuves possibles pour monter un dossier solide.

Boss: On va leurs faire passer le reste de leur vie derrière les barreaux.

Moi: Oui monsieur.

Après je sors de son bureau, il va peur vite fait hein.

William : Enfin on t'attendais on part ?

Aujourd'hui on a l'anniversaire d'une de nos potes en commun.

Moi: Ouais mais je vais vous rejoindre plus tard. J'ai un truc à faire

Isaac : Vas-y mais soit pas en retard après ils vont encore dire "toujours vous les congolais".

Moi: -rire- T'inquiète vasy je vous laisse.

Je sors et je monte dans ma voiture, je démarre direction chez ma mère. Elle m'a appelé en urgence pour que je parte chez eux.

{...}

J'arrive chez eux, ma mère vient m'ouvrir et on part directement au salon. Il y a mon beau père Naël et Dayanah, mais elle a des lunettes de soleil et une capuche Euh d'accord.

Christian: C'est bon on est tous là.

Maman : Dayanah elle veut vous annoncer quelque chose, s'il vous plaît écoutez jusqu'au bout.

Ma mère part vers Dayanah et lui chuchote quelque chose dans l'oreille.

Dayanah enleve ses lunettes , son sweat et reste en t-shirt. Elle a des bleus sur les bras, elle a un œil au beurre noir, elle a des pansements sur le visage.

Je la regarde avec les sourcils grave froncé , je comprends mieux pourquoi hier elle voulait pas reste avec nous.

Christian : C'est qui le chien qui t'as fait ça ?

Dayanah : -baisse la tête- C'est Djibril.

Christian se lève et balance la petite table du salon. Dayanah et Naël sursautent

Maman: Arrête !

Moi: Pourquoi il a fait ça ? -sec-

Dayanah : Parce qu'il était jaloux.

Moi: Putain pourquoi t'es parti le voir ? Je t'avais dit de pas aller le voir Dayanah.

Dayanah : Il m'attendais devant la porte wesh. C'est un vrai malade.

Moi: Putain fallait m'appeler !

D A Y A N A H Where stories live. Discover now