Chapitre 16 : Feu d'artifice

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Coucou mes puces d'amours !!!

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Bonne lecture ;)

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Une arme.

Deux balles.

Deux morts.

Qu'est-ce qui m'avait poussée à faire ça, je ne sais pas ou je ne s'avais pas encore. J'avais pris mon arme, je l'ai chargé et j'ai tiré.

Pourquoi Khalid ?

Je ne sais pas.

Je ne suis plus maître de mon corps.

Je venais de tuer deux hommes.

J'ai tiré sur Khalid en premier, pour qui aille rejoindre son meilleur ami. Alors qu'il voulait le venger, qu'elle était l'intérêt de le tuer. Je ne veux pas la mafia polonaise, je veux la mafia mexicaine. Et là, j'ai pointé mon arme sur Paõlo, il ne souriait plus, je préférais quand il souriait, c'est bizarre dit comme ça. Quand tu souris Paõlo cela faisait moins dramatique, c'était plus vivant, mais c'était avant, avant que tu décides de parler, et encore ce que tu avais osé dire. Ce n'était pas des paroles, non, c'était la mort, je tire, une balle entre les yeux.

Depuis quand je sais tirer et visé.

Bien évidemment, ce n'était pas GTA qui m'avait appris ça. Paõlo s'avait que c'était un piège, et moi, j'ai rien vu venir. Tout le monde allait mourir par ma faute. Il fallait que trouve une solution avant qu'ils n'arrivent dans cette usine. Je regarde Khalid étalé sur le sol usé de cette usine, son sang coulé et s'étendait tout autour de lui. Une vraie fontaine.

Je tourne la tête quand j'entends quelque chose tomber. C'était Paõlo, avec son poids mort sur cette chaise, il avait fini par tomber en tapant sa tête sur le sol, dans un bruit sourd, mais assez fort et violent pour devenir aussi une fontaine. Personne ne bouge depuis que j'avais tiré, choqué, analysant, ils étaient captivés sur les deux corps.

Tu sèmes la haine, tu attires la violence et tu tues tout sur ton passage.

J'étais dans ma bulle, je n'entendais rien, je me mis à courir en reprenant le sniper que j'avais posé par terre, les Mexicains étaient derrière l'usine, là où devait être les Polonais, ils attendaient une seule chose le signal, le signal de Paõlo. J'avais assez de temps pour tous les descendre.

Qui es-tu ?

Je grimpe par les escaliers extérieurs pour atteindre le toit, je donne des coups de pieds pour décaler une grosse plaque de fer, et je bouche l'entrée des escaliers. Personne ne devait me suivre, je m'accroupis pour éviter de me faire repérer, c'était de ma faute, c'est à moi de réparer ma bêtise.

Je cale mon fusil pour regarder dans la lunette du sniper en direction de mes cibles. Je voyais les voitures avec les Mexicains autour, c'étaient bien les voitures des Polonais, ils étaient tous là, à fumer, parler ou recharger leurs armes.

EVIKA  Where stories live. Discover now