Chapitre 22 ~ Tension

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Coucou, j'ai mis un song dans le média, je vous conseille fortement à l'écouter en même temps de lire <3

PDV D'ARÈS

On commence à courir le plus vite possible, brusquement, elle trébuche. Je me penche pour pouvoir l'aider, tout à coup nos deux masques tombent en même temps, je révèle la tête dans le but de voir son visage et...
NON MAIS C'EST PAS VRAI.

- VALENCIA ?!!
- ARÈS ?!!
- MAIS- commence-t-elle.
Je la coupe la parole.
- On n'a pas le temps de discuter aller viens on y va.

- Attends-moi, j'enlève mes talons.
Je la regarde faire, maintenant, elle se retrouve pieds nue.

Je lui tends ma main, elle l'attrape. Maintenant, on court comme si le monde s'écroulait sous nos pieds. Après cinq minutes à courir, on se retrouve enfin dehors, soudain, je vois Valencia s'immobiliser, son visage était aussi pâle que la mort. Je suis le regard de ses yeux pour voir qu'est-ce qui la met dans cet état.

PUTAIN...

- Tiens, Tiens Arès, comme on se retrouve.

Je ne réponds pas.

- Oh... en plus, tu as emmené ta dulcinée avec toi.

- C'est vous le fou qui m'avait kidnappé? Lance Valencia d'une voix rauque.

- Oui, c'est bien moi, répond Antonio.

- Vous vous êtes aussi fait passer pour un vendeur de hotdogs, Ajoute-t-elle.

- Ah bon j'ai fait ça? Glousse-t-il.

- Que voulez-vous? demandais-je sèchement.

- Tu sais très bien ce que je veux, m'a-t-il répondu.

Subtilement, j'approche Valencia vers moi, je penche délicatement ma tête vers son oreille, je lui chuchote quelques mots.

- Tu as compris ? l'ai-je, demandé pour m'assurer.

Elle hoche la tête de manière à dire oui.

- ok, c'est bon, tu as gagné, lançais-je à Antonio.

Je lui laisse croire que je veux coopérer avec lui. J'avance vers lui doucement et brusquement, je lui mets un coup de poing au niveau du ventre.

- GO VALENCIA, ai-je crié.

PDV DE VALENCIA
Arès m'avait demandé de courir et d'aller derrière la barrière pour prendre sa moto et de me casser d'ici.
Je me déplace rapidement, un des gardes du mafieux m'a vue merde ! maintenant, il est à mes trousses, je me pique un sprint, je courais comme jamais je n'avais couru auparavant. On dirait, j'avais fait un marathon et ce n'est pas facile de courir pied nue, une chose positive, j'ai réussi à le semer. Je vois enfin la moto d'Arès, j'embarque dessus, je m'apprêtai à partir, mais ma conscience me crie de rester. Ok, je reste 10 minutes, pas plus.

10 minutes plus tard.

Bon ok là ça fait 10 minutes, désoler Arès, je vais partir sans toi...

LES TROIS AOù les histoires vivent. Découvrez maintenant