•Chapitre 44•

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POV : Kirishima 

Kastuking
|Je suis là
|Sors je t'attends

Je souris de toutes mes dents avant de me précipiter dehors. J'ai mais tellement hâte.

Je sors de ma maison et claquant fort la porte derrière moi en envoyant un message rapide à ma mère pour la prévenir. Je lève les yeux de mon écran, il est debout quelques mètres plus loin regardant l'entrée de la rue. Je reste sur mon palier observant ses cheveux blonds volaient au vent, je suis tellement heureux qu'il m'ait invité. J'ai des papillons dans le ventre rien que de penser que je vais visiter sa maison et peut être même se chambre ! Je rougis fortement en y pensant.

Katsuki souffla en attrapant son téléphone mais dés qu'il croisa mon regard, il le rangea en fonçant les sourcils. Il s'avança pour transformer les mètres nous séparant en quelques centimètres. 

-mais qu'est ce que tu fais depuis tout à l'heure ? Il attrape mon bras pour me tirer vers la sortie du groupe de maisons. Ça fait 20 heures que je t'attends, tu t'es reteint les cheveux ou quoi ? Je rigole, il est tellement ridicule que j'ai pas pu m'en empêcher. Il se tourna vers moi me tenant par le col : son visage crispé très prés du mien. Tu rigoles encore une fois  et je ferai en sorte que tu ne puisses plus jamais rigoler de ta vie. Sourit il en me lâchant. 

Il fit un pas avant que je n'explose de rire sans retenu les mains posées sur mes genoux. Il se retourna encore une fois, et à ma grande surprise, ria à gorge déployait aussi. J'arrête soudainement tous mouvements pour me concentrer sur lui et son rire aussi beau qu'un morceau de Mozart. C'était tellement rare de le voir comme ça : il est encore plus beau comme ça. Oh Eijiro reprends toi ! Tu n'es pas une groupie pas vrai ? Je glousse légèrement à ma propre bêtise. 

-aller viens, j'habite pas la porte à côté et il est déjà presque 18 heures. S'expliqua-t-il en reprenant son sérieux. J'acquisse pour réponse me mettant à le suivre. 

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Je m'assois sur la banquette de métal de l'arrêt essouffler, un autre bus de rater à ajouter dans mon palmarès. Le blond s'assit à mes cotés tout sauf amusé. 

-désolé. Dis je me sentant coupable. 

-tu n'as rien fait. Pourquoi tu t'excuse ? Souffla-t-il bruyamment le visage fermé. Je souris touché mais ne dit rien. 

Je regarde l'arrêt en face de nous songeur, ce moment m'en rappelle un autre. Heureusement que celui-là est plus joyeux. J'espère vraiment que ça va finir différemment. Son téléphone sonna, je fis de mon mieux pour m'empêcher de regarder le nom sur l'écran. Quand je vis qu'il ne répondit pas, une envie de le questionner me prit mais je me contrôla : ce n'est pas mes affaires après tout. 

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-enfin ! Cria le blond on pausant ses clés sur un meuble dans l'entrée. Tu peux enlever tes chaussures, je vais te ramener des pantoufles. Dit il en partant. 

Je profite de ce moment pour admirer son entrée et surtout les photos qui recouvraient presque l'entièreté des murs. Je balaye des yeux les dizaines de photos accrochaient, beaucoup étaient des photographies familiales. Mes yeux s'attardèrent longuement sur l'une d'entre elles : une photo de Bakugo et un autre garçon au cheveux vert, ils semblaient avoir pas plus de 5 ans. Je fixe cette photo, incroyablement mignonne. 

-tiens. Fit Bakugo que je n'avais pas vu venir alors qu'il me lançait des pantoufles devant mes pieds. 

-c'est qui lui ? Dis je sans trop y réfléchir en pointant le petit garçon aux cheveux verts. 

Le blond me fixa un instant avant de détourner le regard. 

-on s'en fout. Finit il en partant dans son salon. 

Un petit pincement au cœur me prit en voyant sa réaction. J'aurai encore une fois dû fermer ma gueule. Je soupire en le rejoignant, je m'assois à ses cotés sur le canapé de cuire marron. Je le reluque quelques instants voulant m'excuser. 

-je suis tellement beau que tu n'arrive pas à ne pas détourner le regard de moi plus d'un seconde. Sourit il de son habituel sourire moqueur. Je rougis ayant honte qu'il ait vraiment raison. 

-oh très modeste à ce que je vois. Ris je sans le contredire, on sait très bien tout les deux que ça ne sert à rien. 

-en même temps tu peux pas m'en vouloir. Comment rester modeste alors que quelqu'un me regarde comme tu le fait ? Fit le blond en se tournant vers moi d'un regard joueur. Attends que veut il dire par là ? Il sait ? Non non c'est pas possible, pas en si bon chemin. Je rougis honteusement, faites qu'il blague, faites qu'il blague. 

Il se pencha vers moi, pourquoi nos visages se retrouvent toujours à 3 centimètres d'un de l'autre. Je m'éloigne par reflex. Malgré toutes mes tentatives je ne pût m'empêcher de fixait ses lèvres pendant un cours instant. Après quelques instants, je reprends constance et relève les yeux vers les siens. Les yeux de mon interlocuteur ne me regardaient pas dans les yeux comme je le croyais. Non, lui aussi fixait mes lèvres. 

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866 mots

Heyyyyyyy les gens ! Je suis vraiment désolé le chapitre est pas ouf mais je suis vraiment épuisé donc je fais comme je peux ! Bref ! J'espère qu'il vous a pas trop déplu non plus ! J'espère que la reprise s'est bien passé pour vous ! Je vous envoie du courage ! Prenez soin de vous je vous aime<3

Tchouss mes beatchs<3

L'étranger Du Bus ~kiribaku~Where stories live. Discover now