Chapitre 21 - Festivités Fatui : jour 3, suite (LEMON)

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Attention : ce chapitre va contenir des scènes sexuelles clairement explicites. Merci aux jeunes de ne pas les lire et de passer à la fin de ce chapitre.

Les scènes lemon sont entre les tirets __

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La chambre d'Arlecchino est majoritairement dans les tons blanc, rouge et noir, mais je n'ai pas le temps de m'y intéresser davantage, car Arlecchino a verrouillé la porte de sa chambre avant de reprendre d'assaut mes lèvres avec un désir prononcé. Elle ne révèle plus la moindre retenue, elle m'embrasse avidement à en perdre haleine.

Notre échange est intense et nous mène à rapidement basculer sur son lit, retirant nos talons respectifs, elle se place au-dessus de moi et je me trouve allongée sur le dos. Elle a ôté ses gants, révélant ses mains chaudes qui parcourent mon corps ; je ne sais pas pourquoi les mains d'Arlecchino sont si singulières, sûrement son élément Pyro, en revanche elles ne laissent pas mon corps indifférent avec ses gestes. Nos langues se rencontrent avec ferveur, tournoyant avec intensité, une main autour de son cou, l'autre commençant délicatement à l'effleurer, agrippant légèrement les tissus de sa tenue. Instantanément, je la sens elle aussi attraper mes vêtements, s'attelant à détacher mon corset d'un geste vif avec une facilité déconcertante, il tombe rapidement au sol après avoir glissé du lit.

J'ai également fait rouler son blazer le long du lit et elle a pris d'assaut les boutons de ma robe ; les retirant, non les arrachant je dirai même. Pour ma part je me montre plus douce en déboutonnant son chemisier mais je me laisse emporter, laissant délicatement ma langue glisser sur son cou en même temps, je la sens sensible à ce contact et même rougir. Sa chambre est bercée dans une obscurité partielle, car une fine lumière tamisée blanche nous éclaire, nous permettant de nous voir et nous toucher aisément. Elle commence à faire rouler ma robe le long de mon corps, me retrouvant en lingerie, je finis par détacher son pantalon.

Nos embrassades ne diminuent pas, bien au contraire, elles s'accentuent et nous nous embrassons langoureusement et follement. Ses caresses sur mon corps, maintenant nu, me laissent des marques légères et me font gémir timidement. Ma poitrine déshabillée, comme la sienne, est rapidement prise d'assaut par ses mains et elle ne tarde pas à jouer avec, me les tripotant fermement et avec assurance. Nos comportements sont assez différents ; son désir est certain et elle semble contrôler difficilement son envie. Moi, je me montre plus délicate et sensuelle, caressant délicatement son corps brûlant du bout de mes ongles en remontant progressivement ; je manipule sa poitrine avantageuse avant de commencer à lui lécher, contact qui la fait geindre légèrement.

Alors que je détache mes cheveux de ma tresse volumineuse et retire mes pics à chignons qui commencent à me devenir douloureux, elle en profite pour retirer son pantalon intégralement, se retrouvant simplement dans sa lingerie en soie noire. A peine finis-je de libérer ma longueur, qu'Arlecchino se repositionne sur moi, nous nous embrassons avec fougue et nous n'éprouvons plus aucune hésitation à approfondir. Caressant son corps, dont son dos, avec le bout de mes doigts, je note la présence de marques au niveau de sa colonne vertébrale, dont son Œil Divin visiblement ancré en elle, et quelques petites cicatrices ici et là dans son dos, mais je ne m'y intéresse pas et je continue simplement de l'effleurer, continuant de l'embrasser. Cependant, je remarque qu'elle se montre un peu moins entreprenante, comme si elle attendait quelque chose.

- « Ça ne te pose pas de problème ? », me demande-t-elle finalement avec sa voix grave dans un murmure, cessant notre baiser.

- « Mmh... ? De quoi ? », je questionne, quelque peu agacée d'être stoppée.

À mon Valet bien-aimé (Arlecchino x OC)Where stories live. Discover now