Chapitre 11

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Mon corps était toujours entrain de tremblé. Je m'efforçais à reprendre mes esprits. Ces paroles font éco dans mon esprit, encore, encore et encore. Ces paroles ne m'avaient pas blessées ; elle m'avait fait quelques trous dans l'âme.

Incapable de comprendre comment il peut pensé de telles choses de moi. Frenkie était le future mari de ma copine. Je n'aurai jamais l'idée de draguer un mec de 10 ans de plus que moi. Et encore moins un autre mec qu'Antonin.

Ce fameux Joao était venu me voir, mais je ne sais toujours pas pourquoi ? Es que Pablo avait raison ? Suis-je vulnérable ? A-t-il prit pitié de moi ? Je n'étais meme pas perdue. Cela dit, cet homme avait l'air sympa, ayant une joie de vivre contagieuse, il m'avait fait sourire quelques secondes. Le diable était venu nous rendre visite.

Il est clair que je ne pourrais jamais pardonné Pablo. Il sait que je suis encore sur notre palier. J'aimerai qu'il deteste ce qu'il vient de faire. J'aimerai qu'il deteste sa violence. J'aimerai qu'il deteste sa façon de se comporter avec moi. Je hais ce que Madame Martinez m'avait dit l'autre jour « Pablo est un ange ». Un ange diabolique ? La phrase se contredit.

Pablo ne sait rien de ma vie. Il se permet de me traiter de pute sans raisons. Bonjour dans la gente masculine. Ils pensent tous à ça.

Il ne sait pas que je fais des insomnies depuis mon arrivée. Il ne sait pas que, j'ai une pression montreuse, pour obtenir une bourse. Il ne sait pas que, je deteste Barcelone. Il ne sait pas que, je deteste tous les barcelonais. Il ne sait pas que, je regarde le même garçon depuis 3 ans. Il ne sait pas que, j'attends un garçon. Il ne sait pas que, je suis incapable de regarder un garçon droit dans les yeux. Il ne sait pas que, je suis incapable de trouver un garçon beau. Il ne sait rien.

Mon coeur se serra très fort, quand je contractais un muscle. J'étais incapable de bouger. Mon corps était crispé et humidifié par mes larmes. Mes vêtements me donnaient froid. Je tremblais, me laissant me noyer dans mes larmes.

Je sursautai a l'entente d'une voix douce.

-Qui es qui a fait ça ?

Ma tête se dirigea vers cette source de son. Je vis le visage tristesse de Madame Martinez. Je me sentais tellement honteuse de l'avoir réveillé ; mais surtout qu'elle m'est vu comme ça.

-Qui es qui use tes jolies yeux verts ? Me demanda Madame Martinez en essayant mes larmes.

-Votre ange... dis-je timide. Je n'étais pas sûre de pouvoir lui dire que, son ange était entrain d'abîmer mes yeux.

-Diego ? Dit-elle horrifiée.

-Pablo...

Elle me sourri, puis me tira vers son appartement, qui se tennait a quelques mètres de celui de Pablo.

Elle ferma la porte derrière moi. C'était tellement simple chez elle, que ça en devenait mignon. Quelques livres et plantes vertes pour habiller ces commodes, et quelques magazines trannaient sur la table.

Elle me demanda de m'assoir sur le canapé. Elle disparut dans la cuisine, et en ressort avec deux tasses, du lait, du cacaco, quelques biscuits et des insutions. Cette dame avait toujours le sourire. Elle s'installa en face de moi en m'efforçant à sourire.

-Sert ma jolie ! M'informa ma voisine.

-Merci, articulai-je difficilement.

-Mon Pablo a déformé tes jolies yeux ?

-Oui... il m'a dit beaucoup d'horreurs. J'ai beaucoup de mal à m'intégrer à Barcelone. Je me sens de trop partout, je deteste comme Pablo me traite. Il me protège puis, « votre ange » m'insulte juste après. Il me rend la vie impossible a la maison. Le conservatoire me demande de plus en plus d'argent, mais mes aprents de l'ont pas. Je n'ai pas le temps de travaillé.

Estoy asombrado Where stories live. Discover now