Kakashi X Hina Byakuren

Chapitre 39

PDV Hina

Quand j'ouvris les yeux je vis Gaï sensei devant nous qui venais de frapper d'une facilité déconcertante tête de Requin.

-Qui es-tu toi avec tes gros sourcils ? Demanda Kisame.

-Le beau est resplendissant fauve de Jade de Konoha, Gaï Maito

Ça va les chevilles ?

Les mains de Kakashi c'était resserré autour de moi quand Gaï a fait son apparition.

Ce dernier me pris sous son bras, quant à Kakashi il le mis sur son épaule.

-Kakashi tu t'es noblement battu, dis gros sourcil solennellement.

-Ne regarde pas les yeux d'Itachi Gaï, tu te ferais avoir par sa technique, dit Asuma toujours les yeux clos.

-Kakashi est mon rival depuis toujours, j'ai appris à me battre contre le pouvoir du Sharingan. Allez n'ayez pas peur ouvrez les yeux.

-Mais Kakashi a dit... bégaya Kurenaï.

-Il ne faut juste pas regardez ces yeux. Regardez ces pieds et ces mouvements pour contre-attaquer.

Je regarda Kakashi qui c'était évanouie, je ne pouvais rien faire et ça me rendais furieuse.

-Kurenaï emmène Kakashi et Hina a l'hôpital. J'ai appeler les forces spéciales ils ne devrais pas tarder.

Voilà la dernière phrase que j'entendis de la bouche de Gaï avant de m'évanouir à mon tour.

-

J'ouvris les yeux difficilement et aperçus Kakashi dans une chaise en face du lit dans lequel j'étais allongeais.
Il avais les yeux fermer signe qu'il dormais.

Je regarda autour de moi et reconnus les chambres d'hôpital.

Il est déjà rétablis ?

-Tu es enfin réveiller, me dit une voix grave me sortant de mes pensée.

Je regarda en face de moi et vu son œil droit me regarder avec intensité.

-Ou...oui. Qu'est ce qui c'est passé sensei ? Demandais-je perturbée par son regard.

-Après que Kurenaï nous a ramené ici on a reçu les premiers soins, ensuite Itachi et Kisame ont décidé de partir sans qu'ont puissent les attrapées.

-Comment ça se fait que vous soyez réveiller avant moi, alors que vous étiez dans un état pire que le miens.

Il se leva et s'approcha de mon lit.

-A vrai dire c'était toi la pire de nous deux, dit-il en se grattant la nuque. Moi j'étais blesser que... mentalement je dirais. Alors que toi c'était mentalement ET physiquement.

-Ho, dis-je en réfléchissant.

Puis la scène de mes parents en train de mourrir me revins en tête, et des larmes commença à perler autour de mes yeux.

Mon sensei le remarqua et s'approcha, pour s'assoir à côté de moi, au bords du lit. Il me pris la mains et fis des petits ronds avec son pouce.