Numéro 4 568 [yaoi]

Chapitre 7: Puni [lemon]

« -Je ne veux plus que tu lui parle. Que tu le touches. Que tu poses ton regard sur lui, ou tu seras puni.»

×××

Je me réveille dans un lit bien plus confortable que celui de ma cellule.
J'ai une grande douleur à la tête.
J'entends une respiration. Il y a quelqu'un.
J'ouvre doucement les yeux.
Aie, la salle est trop blanche.
La première chose que je vois est un plateau avec un verre d'eau et ce qu'il semble être un cachet.
Je tourne la tête.
Le merveilleux Bienfaiteur est assis sur une chaise, un livre sur son genou, toujours sa chemise déboutonnée à moitié, et ses yeux bleus clairs qui me fixent.

-Que...

Qu'est ce que je fous ici ?

Je voulais me redresser, mais la douleur dans ma tête me tire vers l'arrière.

-Tu as cogné un mur.

Il se lève, en posant son livre sur la chaise, et prend le cachet dans sa main. Tout en parlant, il lâche le médicament dans l'eau.

-C'est un cachet pour la douleur.

Et il me tend le verre.
Je voulais parler, lui demander pourquoi j'étais ici, pourquoi il était ici. Mais mes cordes vocales refusaient de marcher.

Je pris alors le verre et bus d'un coup.
Heurk, comment on pouvait faire des médicaments aussi dégueus ?

-Ce n'est pas bon ?

Ha, ça se voyait tant que ça ?

-Je vais enlever le mauvais goût...

Ha oui ? Et comment?, sale taré.

Il s'approche de moi et m'embrasse.

Vraiment ?!

Je recule ma tête.

-Calme toi.

Comment il veut que je me calme?

Il se met sur le lit, ses jambes de part et d'autre de mes hanches.
Je suis en infériorité. Il retire sa chemise et déboutonne son pantalon.

Il m'embrasse à nouveau puis descend le long de mon cou, de mon torse, puis se dirige vers mon tétons gauche.
Je ne peux m'empêcher de gémir quand il commence à jouer avec, avec sa langue.

Mais qu'est-ce qu'il fait ...?

Il passe ses doigts sur mon ventre, doucement. J'ai des frissons.

Après avoir fini avec mon téton, il passe sa langue vers mon nombril, puis continue, mais ma serviette de prisonnier le bloque.
Plus pour longtemps. Il l'enlève et la jette derrière lui.

Hein ? Je commence à bander.

-Déjà ? Ça le facilitera la tâche.

Il prend mon penis en bouche.

Je gémis encore plus et je ferme les yeux.

-Ça va commencer à devenir intéressant...

Comment ça ?

Il commence à me taquiner au niveau de mon seul et unique trou. Il m'enfonce un doigt, puis deux.

Je me cambre et gémit plus fort. Au bout d'un moment, il chuchote :

-Tu es prêt.

Il prend ma jambe droite et la place au dessus de son épaule, et il commence à s'enfoncer en moi.
Je m'accroche au draps et pousse un cri de douleur.