• Chapter One •

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« Ivy.. Ivy, réveille-toi! »

J'ouvrais mes yeux et les referma aussitôt suite à l'éclat de lumière. Le rire familier de ma petit sœur me fit sourire.

« Tu dois te préparer, on a un dîner avec les Johns et les parents sont de plus en plus stressé et ils énervent tout le monde »

Je ré-ouvre mes yeux et jette un regard à la brune assise sur mon lit.

« Combien de minutes? »

« Gros max. 10 minutes »

Je me levais rapidement et pris les vêtement que ma mère avait soigneusement déposée sur mon bureau de travaille. Une fois prête, je descendis les escaliers deux par deux et embarqua dans la voiture de transport.

Dire que je suis pauvre serait mentir, mes parents possèdent une grosse entreprise d'affaire, ici, à New York. Et ils ont souvent des soupers auxquels moi et ma sœur devons participé contre notre gré. Moi et ma sœur, on est comme des meilleurs amies. Aucun secret entre nous. Donc, nous sommes très proche et j'aime ça. Avec mes parents, tout va bien aussi, mon père travaille la majorité du temps et ma mère travaille à la maison dans tout ses papiers remplis de chiffres inutiles. Enfin, si l'on ne pense pas au travaille, mes parents, je les adore.

À ma naissance, j'ai hérité des yeux vert-gris de mon père et j'en suis assez fière et en grandissant, j'ai développé les formes féminines, au bon endroit. Je ne suis pas la plus belle, mais je ne suis pas la plus laide aussi. Bref, je ne suis pas le genre de fille à sortir le soir ou après l'école. Habituellement, je rentre chez moi après l'école et je me plonge dans mes livres d'études.

Quelques autres trucs à savoir sur moi, je suis toujours vierge et oui, même à 20 ans. J'étudie à l'Université en gestion et je travaille à temps partielle dans un petit café au coin de ma rue.

Des amis, moi? Non, je suis plutôt du genre solitaire, j'ai quelques connaissances, mais pas plus. Je suis bien comme ça, la seul personne que je peux considère comme ' une amie ', c'est Lily. Une brune, elle aussi, elle est toujours avec moi à l'école et je l'aime vraiment beaucoup. C'est comme une deuxième sœur pour moi.

La question que tout le monde se pose c'est: les garçons, je n'aime pas les hommes. Je ne suis pas lesbienne, ne vous faites pas d'idée, mais je veux dire que j'ai de la difficulté à leur faire confiance. Mes parents m'ont toujours dit qu'ils étaient une perte de temps et qu'ils vont nuire à mes études. Par habitude, j'ai appris à écouter mes parents, alors je n'ai jamais connu le « Grand Amour » comme tout le monde parle. Sans oublier, le « Sexe » et tout ses histoires de première fois. Je ne suis vraiment pas quelqu'un de pudique ou qu'y va parler ouvertement de ses problèmes et encore plus, si ça parle de ce mot.

J'ai toujours été une fille sage, je n'ai jamais désobéis à mes parents. Les grosses soirées Le Vendredi ou les Partys, jamais je n'ai assister à cela et ça ne m'intéresse pas plus. Des gens diront que je suis une « Coincée », mais je ne crois pas ça. De plus, je ne suis pas le genre de fille à être affecter par les jugements des autres. Petite, j'ai fais de la boxe et j'aimerais bien m'y remettre.

Bref, j'étais perdu dans mes pensés pendant que je marchais vers le café au coin de ma rue. Mon heure commençais dans 15 minutes. Une fois arrivée, j'enfilais le petit tablier avec le logo « Starbucks », salue mon patron et mes collègues, puis m'installais à la caisse pour passer le client présent.

La plupart du temps ce sont des personnes âgées qui traînent dans les cafés, ici il y a une forte population de jeunes, à cause des écoles à proximité. Je servais une dizaine de personne avant de finalement pouvoir prendre une mini pause. Et puis, tout ceci recommence jusqu'à la fin de mes heures.

Il faisait désormais noir et je commençais à marcher vers chez moi. Je déteste la nuit, il y a trop de gens bizarres qui sortent la nuit et ça me fait peur. J'ai toujours peur de me faire kidnapper ou de me faire violer ou tout simplement de me faire agresser.

Ça sent la cigarette. J'ai horreur de la cigarette. Un homme est adossé sur le mur de béton d'un immeuble et fume. Dégoutant. Je passais devant lui rapidement et rentrais finalement chez moi presqu'en courant. Stupide.

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Voilà, le chapitre 1!

J'espère qu'il vous a plu.

La question 1:

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