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  La pluies s'abat sur la ville de Paris en ce mois de juillet, je me tiens devant ma fenêtre une tasse de thé entre les mains. Je commence ma journée dans deux heures. Une fois ma boisson avalé, je me dirige vers ma salle de bain. Douche, maquillage, habillage, j'en sort prête une petite heure après. Aujourd'hui je suis simplement habillé d'un jean et d'un sweet a capuche.
Je sors de mon appartement, descend les trois étages, je ne prend pas l'ascenseur de peur qu'il reste coincer, sa mes arrivée de nombreuse fois. La poisse me poursuit, clé perdue, panne de voiture, sac de course qui craque, la poisse quoi! Avant de quitter l'immeuble, je tombe sur la concierge: Mme Rallaje. 

- Bonjour, dis-je
- Oh Perrine comment-allez vous?
- Bien, merci et vous? fis-je
- Très bien, merci, salle temps aujourd'hui?
- Oui, pas digne d'un mois de juillet, lui répondis-je en souriant


La femme d'environ cinquante ans, son balais dans une main, me souris, elle porte une espèce de blouse couleur aubergine, ces cheveux noir son attaché, elle a des origine indienne, c'est la première chose qu'elle mes dîtes quand je suis arrivée ici. 

La concierge continue de me parler, je regarde ma montre, les minutes cesse de s'écouler.

- Je suis désolée Mme Rallaje, mais il faut vraiment que j'y ail.

- Oh très bien, passée une bonne journée.

Je la remercie de nouveau en quittant l'immeuble, la pluie a un petit peu cessé. Marche, métro, marche j'ai quasiment traversé Paris. J'arrive devant un grand immeuble, la façade est très jolie. J'entre, le hall est grand ce qui change du miens, plusieurs plantes s'y trouve, un grand lustre pend du plafond. Je monte jusqu'au première étage, je sors ma clé et la rentre dans la serrure, le silence règne dans le grand appartement, les petits doivent encore dormir, je ne croise que très rarement leurs mère, leurs père tout les soirs.

Une fois les petits levés, la journée s'enchaîne, petit déjeuner, douche, jeux, manger, sieste, manger, jeux. Laura, Sophie et Léo sont de vrai petit anges avec moi, une fois la journée passer les petits anges devienne de vrai petit démons, ils se vengent sur leurs parents.

Quand je quitte le domicile de la famille Abram, un rayons de soleil fait son apparition, je rentre en vitesse chez moi.Par chance je ne croise pas la concierge, je passe devant chez elle en vitesse, je monte les trois étages en vitesse, quand j'arrive devant ma porte je suis essoufflée. Je cherche mes clés dans mes poches, mais ne trouve rien, la panique me gagne, je refouille mes poches, je vide tout mon sac, a même le sol.

- Merde, où est-ce-que vous vous caché? dis-je en paniquant 

Je cherche parmi mon carnet, mon porte-feuille, mon paquet de chewing-gum.

- C'est ça que tu cherche? me dit un voix grave

Je relève la tête et la première chose que je vois, ce sont mes clés. Je regarde ensuite a qui appartiens ce bras. Un homme assez grand, une casquette noir sur la tête, une barbe de plusieurs jours bien tailler, des yeux sombre, qui me font presque peur, il ne sourit pas, tiens toujours à bout de bras mes clés, je me relève précipitamment. Il porte un jean foncer et une veste noir a trois bandes. Il fait bien une bonne tête de plus que moi. Il me regarde toujours. 

- Oui, me...merci dis-je en bégayant 

J'attrape les clés, le remercie de nouveau. Je me baisse de nouveau pour ranger mon foutoir, j'entends la porte d'à côté se claquer. Je viens de faire la connaissance de mon voisin qui m'étais inconnu depuis trois mois.


Coucou vous allez bien? Alors que pensez vous de ce chapitre? Qui est ce mystérieux voisin? Donnez moi vos avis. Bisous 

Un homme change mon mondeDove le storie prendono vita. Scoprilo ora