le Rhin

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-Reveillez vous , ces l'heure!
Il était cinq heure du matin , on était le 17 septembre 1938, les ordres avaient été donné la veille , chacun savait ce qu'il avait à faire .
Les soldats se leverents en silence , le silence qui accompagne toujours la préparation des batailles .
-Pierre , prend une arme normale , nos snipers sont déjà en place depuis trois heure du matin , tu n'a pas besoin d'en faire partie
-Oui capitaine
-Alors Pierre dégouté ? Tu pensais que t'allais encore pouvoir dormir comme à l'entraînement ?
-Tais toi Marc , j'ai les même ordres que toi tu le sais
Les soldats sortirent des baraquements ,équipements sur le dos , le commandant pris alors la parole
-Soldats, pour l'offensive à venir et ce jusqu'aux premiers affrontements je vous demanderai la plus grande discrétion , les boches ne doivent pas savoir que nous sommes là jusqu'à ce que nous prenions place sur l'autre rive , rompez et en avant.
Les colonnes se mirent en marche , sur toute le fronts les soldats marchait en silence vers leurs objectifs , l'Allemagne.
Le 152 régiment d'infanterie arrivait à son lieu d'embarquement
-Regarde Pierre, normalement ces maintenant que les sentinelles meurent
Au même moment , les forces spéciales françaises entraient en action , tuant les sentinelles et les empêchant de sonner l'alarme
-Regiment , embarquez !
À cet instant tous les soldats du régiment se saisirent des barques cacher préalablement et embarquèrent.
-Marc dépêche toi bon dieu , on est au centre du fleuve ya pas de meilleur endroit pour se faire tirer
-Chut , parle moins fort bordel , tes drôle toi comment tu veux que j'avance plus vite avec ton arme qui m'empêche de bouger , prend une pagaie et aide moi plutôt
-Nan selon les ordres je dois surveiller la rive
-Me fais pas rire , avec le nombre d'hommes déjà présent sur la berge rien ne peut arriver
- si tu le dis , mais les ordres sont les ordres je peux pas y déroger parceque toi tu pense quelque chose
-Va te faire voir !
Marc continua donc à ramer,l'eau noir reflétait leur image , l'image de soldat inquiet ,, le visage tiré par l'appréhension de le stress .
-Pierre prend ton équipement on est quasiment arrivé
Après avoir mis pied à terre , les deux soldats se positionnerent comme prévu , en formation défensive autour des barques.
-Et maintenant on fait quoi ?
-On attend le feu verts des autres régiments , tu t'imaginais quoi Marc ?
À cet instant le commandant abaissa son bras.C'était le signe qu'il avait reçu l'approbation des autres régiments et que l'offensive était lancée.
À ce signal les soldats s'elancerents , ils entendaient au loin les coups de feu des autres régiments.
Pierre et Marc étaient parmi les premiers à courir vers le camp Allemand, tout les soldats le savaient, la victoire reposait sur la vitesse d'exécution du plan .
Pierre et Marc arrivèrent en vue du camp .Le reste des hommes arrivait en même temps .Tout les soldats epaulerent leurs armes et attendirent le signal , ce fut le commandant qui le donna en tirant lui même le premier coup de feu .À ce moment là les hommes tirent tous .Pierre et Marc foncèrent vers les tentes qui avaient réchappé au balles et d'où s'échappait désormais des Allemands sonné .
-Marc la !
Il montrait un allemand qui sortait en rampant de sa tente
Marc epaula ,visa et tira , au même moment Pierre repéra un allemand qui lui fonçait dessus , il se baissa , sortit son couteau et le planta .
Marc sortait une grenade et la lanca dans une tente épargné par les combats, les cris qui en sortirent lui assurerent qu'il avait bien choisi .Le reste des hommes ayant exécute les même actions , le camp Allemand fut bientôt à nouveau calme, les allemands restant ayant fuis vers l'intérieur des terres.
Une fois les hommes rassembler , le commandant pris la parole
-Messieurs , cette opération est une réussite, on m'informe à l'instant que l'offensive en général est un succès , dans deux heures les blindés et les camions seront sur place et nous partirons poursuivre les boches , vous avez donc deux heures pour vous reposer, rompez
Côté français , une dizaine de morts étaient à déplorer au régiment, tandis que les allemands avait perdu une très grande partie de leur effectif

Frank avait passé la pire nuit de sa vie , il avait été réveillé par les tirs des francais au tout début du matin , il avait vu la plupart de ses compagnons d'armes et amis mourir sous les balles française et avait du fuir sans armes comme la plupart des survivants de son régiment,il était désormais en train de marcher vers le village le plus proche , il fallait qu'il prenne contact avec le haut commandement et demande des renforts , en espérant qu'il ne soit pas jugé pour abandon du terrain.

La guerre de 38Où les histoires vivent. Découvrez maintenant