Drive

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Chapitre 2

Dans les vappes. Je suis actuellement dans les vappes. Il y a des voix graves, sûrement des garçons jeunes ... ou pas ... pourvus que sa ne soit pas un gros pervers de 40 ans ! Ils sont plusieurs, cinq ou six. Ils se chamaillent tous.
Tous est sombre, je vois des petits points de lumière qui défilent.

" - Eh les gars, on peut la maquiller ?
cette voix est plutôt douce et enfantine.
- Fermer la tu veux !
celle là au contraire est vraiment grave, il ne doit pas être commode.
- Eh eh doucement derrière je conduis ! N'oublions pas la règles d'or : Ne pas dévoilé son prénom !

lui est plutôt intelligent et calme. Il doit avoir l'habitude de faire se genre de chose.
Moi qui m'attendais à un changement ... il est très radical !
Le trajet est long. Les voix se fussent entre elles. Certain se dispute, d'autres discutent entre eux. Et tous sa me fait un mal de crâne horrible. Je ne peux pas vraiment bouger si se n'est que mon orteils. Seul mon ouïs m'aide à rester éveillé en quelque sorte.

"- Vous savez se que va faire le Patron de la fille ?"

Un silence plane, ce son, c'est celui qui a voulus me maquiller.

- Tu vas pas la fermer, tu poses toujours la même question à chaque fois qu'on chope une fille ! "

Encore le rageur qui se plein et visiblement je ne suis la première fille qu'ils ont kidnappé. Il y en a eu sûrement plein d'autre. Les pauvres.

"- Je crois pouvoir répondre à ta question le bizarre "
L'intello refait surface. J'aime bien sa voix, un peu enrouée.

"- Par contre, reprit il c'est un peu violent ce que je vais raconter et puisque qu'on est bientôt arriver ceux qui veulent que je leurs raconte la petit histoire m'aide à porter la gamine "

La voiture s'arrête et tous le monde descend. On m'extirpe de la voiture. Le vent du mois de décembre me claque le visage.
"- L'histoire que tu vas nous raconter parle du patron ?
encore une autre voix, un peu enjoué. Et puis qui est le Patron ? ... ben c'est leurs boss tous simplement
Ce que je peux être débile !
"- Et tu veux que sa soit qui d'autre ?"
Un bruit de serrure se fait entendre. Il n'y pas de bruit dehors rien qui ne puisse m'aider à savoir où je suis. Pas un seul bruit d'autoroute, ni même d'un cour d'eau. Le ciel noir et froid du Mississipi laisse place à une chaleur accompagner d'une forte luminosité.
Une maison, j'en suis sûr.

"- Sa y est enfin rentrer " dit l'un des garçon d'une voix ... mélodieuse.

Ce qui me titillé à l'esprit, c'est que depuis le début de cette mésaventure, mes ravisseurs (si je peux les appeler de la sorte) avez tous, son l'ombre d'un doute, un accent très différents. Un accent très prononcé chez certains mais je ne sais pas lequel. On me pose sur un canapé. La force des mains qui ont seraient mes poignets et mes chevilles disparaissent. Et tous est flou. Tous flou. Tous m'énerve. Je voudrais hurler. Je voudrais le barrer d'ici.

Des chaises grincent sur le sol. Ils sont tous près de moi.

"- Bon vous voulez la petite histoire les petits ?"

"- Je vais appeler le boss pour lui dire qu'on a la gamine." Sa s'est le coléreux, sa voix grave et ... violente.

"- Ok ... Bon vous êtes près les autres ?"

"- Vas-y mec on t'écoute " dit l'un d'entre eux, d'une voix endormi.

Bon il faut que j'écoute cette fichu fiction, pour savoir si qu'il m'attend ce soir. Par instinct, je sens ma fin venir à grand pas. J'aurais dû écouter Maman aujourd'hui. J'aurais dû écouter Maman ... "- Un jour, avant même que soyez là. Il avait moi et le nerveux enfin lui il était à l'internat et moi je restais avec le boss tous les soirs. Donc une nuit il m'avait demandé de dépoussiérer son bureau. Ce que j'ai fait. Pendant qu'il était entrain de faire je ne sais quoi, j'avais profiter de son absence pour fouiller histoire de le connaître mieux. Donc j'ai fouillé ces tiroirs. Le tous dernier était verrouillé par une clef. Alors j'ai cherché la clef et elle était cacher dans uns des livres de sa bibliothèque. "

" - Il y en avait beaucoup ? " coupa l'un d'eux.

"- Des livres ? Tous un murs et le pire c'est que la clef était cacher dans un livre de blague avec un gamin qui s'appelle ... Tu ... non ... To ... oui c'est Toto "

Termine cette foutue petite histoire, pour savoir comment je vais finir mes dernières heures d'existence.

"- Et donc j'ai trouvé la fameuse clef et je l'ai inséré dans la serrure. J'ai alors ouvert le tiroir. J'ai trouvé des photos ... Ils y avaient des femmes ... pleins et le pire ... c'est qu'elles étaient méconnaissables"

"- Comment ça méconnaissable ... ?
Lui demanda un des garçons. Nous dis pas que ..."

"- Pire qu'un film d'horreur. Du sang partout, le ventre ouvert ... mutilés, le crânes rasés et j'en passe. Depuis ce jours chaque fois qu'on kidnappe une fille, j'ai envie de pleurer. Parfois je me dis que je devrais mourir à leurs place ..."

"

- Et tu crois qu'il va réservé ce sort à la gamine ?"

"- Il y aurais malheureusement des
chances ... "

J'ai plus envie d'exister. Non je ne veux plus exister. J'ai envie de disparaisse et pas seulement de cette foutu maison mais j'ai envie de disparaisse du globe terrestre. Maintenant la seule et unique chose que je peux faire est d'espérer. Pas d'espérer de croire que tous cela est un rêve c'est trop bête. Mais plutôt qu'un in prévus est lieux
maintenant. N'importe quoi qui puisse m'aider à m'échapper d'ici. J'entends soudainement un son qui s'enchaine. Des pas. Pour vue que sa ne soit pas lui. Pas le psychopathe. Pour vue que je reste envie.
Papa, maman, frangin pardonné moi.

"- Eh euh ... Les gars ... on ne pourras pas amener la gamine au patron"

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