Cauchemarxfin

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Ça fait bizzare de le dire mais bon, voici le chapitre final, il sera publiè en même temps que l'épilogue et le petit mot final! Maintenant je vous laisse et bonne lecture!

Pdv [t/p]
Je me retournais vers mon interlocuteur quand je reçus un coup au crâne, ma vue se brouilla progressivement et je sentais que je perdais l'usage de mes sens. Je réussis tout de même à lever la tête vers le nouvel individu dont seul la voix m'avait interpellé.

Moi: M-m-mais....tu es supposé....être mort....
.....: on n'entere pas le grand jonh rodrig si facilement ma petite [t/p]!
Moi: p-pou...
Jonh: chut mon petit ange! Ne gaspille pas tes forces! On aura tout le temps de parler ensemble!

Je le vis approcher et sourire tel un psycopathe avant de recevoir un deuxième coup qui me fit perdre connaissance.

Je m'étais réveillé quelques instants plus tard, du moins, ce qui me semblait être des instants. J'essayais de bouger mais mes mains et pieds étaient ligotés et attachés à une vielle chaise que j'aurais normalement brisé sans effort, mais j'étais crevée, ma respiration était haletante et mes poumons avaient du mal à capturer de l'air dans cet espace où l'oxygène manquait. Je sentais des gouttes de sueurs perler sur mon front et j'avais du mal à avaler ma propre salive pour humidifier un peu ma gorge aussi sêche qu'une roche.

Je réussis tout de même à distinguer les formes autour de moi: la pièce était vide au murs gris plein de moisissures, il n'y'avait ni bougie ni torche pour éclairer, même pas une fenêtre pour permettre à l'air de se renouveler, et le seul meuble hormis la vielle chaise était une armoire toute aussi vielle, dont les portes était marqués par le temps et qui semblait prêtes à céder sous la pression d'une simple brise d'été, et à mon plus grand malheur, il n'y'en avait pas, je continuais de me tortiller dans tout les sens mais je n'arrivais pas à me retourner pour voir ce qu'il y'avait derrière moi. La chaleur était étouffante et le seul bruit que je pouvais distinguer était celui de ma respiration. Je n'avais rien à faire alors je restai ainsi, entrain de regarder l'armoire sous tout ses angles, personne n'était présent et même après ce qui me parraîssait être d'interminables heures, aucun bruit ne vint rompre le calme de l'endroit qui devenait plus inquiétant que relaxant.

Ma robe était déchirée jusqu'au mi-cuisses et je pouvais voir le reste du tissu jeter nonchalement dans un des coin de la salle que je continuais à scruter, encore et encore, jusqu'a en perdre la notion du temps. J'avais chaud mais était souvent parcourue de frissons et mes cheveux collés par la sueur sur mon visage ne faisiat qu'empirer les choses.

Après plusieurs instants, une porte que je n'avais pas vu s'ouvrit dans un grincement insupportable. Je tentais de me retourner mais mon visiteur me dévanca et tourna la chaise vers lui. Bien évidemment, s'était jonh, mais ce n'était pas ce qui m'avait interpellé, non, c'étail ce qu'il y'avait derrière lui: un mur auquel était accroché tout types d'outils de torture. Je paniquais complétement mais je n'étais pas libre de mes mouvements et au moindre geste, le corde qui me servait de menottes m'entaillait encore plus. Il me regardait de haut et j'aurais aimé lui cracher dessus si ma gorge n'était pas sêche.

Jonh: tu es enfin réveillée ma petite [t/p]? En tout cas, nous devons maintenant faire une petite escapade en haut pour rencontrer les autres.

Je voulus lui répondre mais je me mis à tousser et cracher du sang. Il leva la chaise d'une main à la manière d'un altère puis sortit et monta ce qui me semblait être des escaliers. Une fois arrivé en haut, je compris que j'étais dans les bas-fonds, et que nous venions de monter les escaliers de passage.

Pdv levi
Après être rentrés hier, l'atmosphère n'est plus la même. Certes, au bataillon, perdre des proches est quelque chose d'habituel vu que des dizaines de soldats périssent à chaque expédition, mais perdre un caporal-chef est un cas à part, car normalement, voir que tu as à tes côtés les personnes les plus fortes de l'humanité t'encourage plus qu'autre chose.

Le jour ou nous nous sommes revus... (leviXreader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant