Sarah - La Beauté Intérieur. [TERMINÉE&ENCORRECTION]

PARTIE 14

Selem wa aleycoum, Bonjour ❤

Elle: Si ça l'ai, on ne frappe pas quelqu'un pour rien Sarah. Tu ne dois pas te renfermer, il faut que tu te battes, et que te sorte une fois pour toute de tout ça.

Elle a des blessures au coeur. Des blessures que personne ne peut réparer. Et c'est au fond d'elle qu'elle garde toute ses douleurs. Jusqu'au jour où véritablement elle va craquer...

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"Ma chérie voudrait que j'lui offre une rose, mais tout ce que j'ai à donner c'est une dose..."

Partie 14💘

Moi: C'est juste que... Elle m'a dit de ne pas parler à un garçon parce que elle l'aime en quelque sorte. Elle m'a menacé à plusieurs reprises que si je n'arrêterais pas de lui parler, et bien elle me réglerait mon compte. Et moi et bien je ne l'ai pas écouté.

Ibtissem: Mais c'est une folle cette fille. Crois moi, si elle t'a fait ça uniquement pour un garçon, et bien c'est parce qu'elle est jalouse de toi.

Moi: Elle, jalouse de moi ? Alors là très loin de là. Pourquoi elle serai jalouse de moi s'il te plaît ? Regardes moi deux secondes ! Je suis horrible et elle, elle a tout pour elle.

Ibtissem: Elle est jalouse car t'es le genre de fille que tout gars voudrais avoir ça se voit. Tu as de magnifiques qualités, et arrêtes de te sous estimer comme ça. T'es loin d'être moche Sarah ! T'as juste des boutons et un mono-sourcil. Tes boutons, un jour ou l'autre ça va partir et un mono-sourcil, ça s'épile.

Moi: Plus facile à dire qu'à faire. Ibtissem, j'ai le visage remplit de boutons depuis la primaire ! Les gens se moquent de moi depuis que je suis petite, ils m'ont mis à l'écart et m'ont méprisé, tout ça par ce que je n'étais pas assez belle, ou même normal à leurs yeux.

Ibtissem: Je te comprends. Les enfants peuvent être méchant tu sais. Quoi que tu fasses et quoi que tu es, saches que les gens te trouverons toujours un défaut chez toi pour te critiquer, alors ne porte jamais d'importance à leurs avis et fais ta vie.

Moi: Ouais.

Ibtissem: Mais ce qu'il faut réellement changer chez toi en premier, c'est ton caractère. Faut que tu saches te battre, que tu saches te défendre. Que tu es plus de caractère car tu es trop fragile. Et suis prête à t'aider à changer.

Moi: Serieux ?

Ibtissem: Oui, fait moi confiance.

Elle me sourit avant de me prendre dans ses bras.

Cette fille, elle a su me remonter le morale en à peine quelques mots.

Avec elle, je ne me prenais pas la tête, j'étais moi même et surtout, je le sentais terriblement comprise.

Le sourire au lèvre, voilà que j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir.

Je tourne ma tête vers celle-ci, et aperçois Amir.

Lorsqu'il pose le regard sur nous, son visage s'adoussit soudainement pour y laisser place au soulagement.

Le lendemain...

Je me réveille, et lorsque je réalise qu'il m'on était Samedi, une vague de soulagement traverse mon esprit.

Je le sentais horriblement mal, et mon plâtre, je n'arrivais pas à m'y habituer.

Mais cette douleur ne représentais rien devant la honte et le dégoût que j'éprouverais envers moi même.

Mais malgré tout ces malheurs, j'avais découvert hier que Ibtissem n'était rien d'autre que la futur femme de mon frère.

J'étais vraiment heureuse de la nouvelle, moi qui avait peur qu'il tombe sur une vicieuse, là on pouvait clairement dire que c'était l'inverse.

Je me lève difficilement et le dirige vers la cuisine afin d'avaler un grand verre d'eau, mais lorsque je pénètre d'abord le salon, je vois les deux parents poser les yeux sur moi ainsi que sur ma jambe cassée qu'il n'avait encore eu l'occasion de voir.

Ma mère elle se précipite vers moi le regard très inquiet, quant à mon père, il détourne son regard vers le son émission télé sans me prêter la moindre attention.

Maman: Benthi qu'est ce qui t'es arrivée ?!  Pourquoi t'as la jambe cassée, tu veux que je t'aide ?

Moi: Ne t'inquiètes pas maman ça va aller. Je suis juste tombée des escaliers hier et Amir m'a ramené à la maison après être passée à l'hôpital.

Maman: T'es vraiment bête toi ! T'as jamais vu des escaliers ou quoi ?

Moi: *rire* Apparement non.

Elle soupire puis m'aide à me préparer et à m'habiller, car oui, aujourd'hui, Samir s'apprêtait à demander la main d'Ibtissem auprès de son père.

Après s'être tous apprêtés, on fini tous par sortir de la maison.

On monte ensuite dans la voiture de mon père, Amir était à l'arrière avec moi.

Durant le trajet, il m'arrivait de jeter quelque coup d'œil en sa direction.

Il avait l'air assez nerveux et surtout très paniqué, et plus les minutes défilaient, plus son stress avait l'air de devenir intense.

Une fois arrivé, on toque à la porte. Celle-ci s'ouvre à peine quelques secondes plus tard sur une dame voilée qui devait avoir dans les environ de la quarantaine.

C'était sans doutes la mére d'Ibtissem, car elle lui ressemblait fortement.

Face aux autres ne montres jamais ta peine. Oui je la sens monter de jours en jours cette putin de haine....

A suivre...

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