Sarah - La Beauté Intérieur. [TERMINÉE&ENCORRECTION]

PARTIE 106

Selem wa aleycoum, Bonjour ❤️

Je tourne ensuite la tête vers Safia, avant de la prendre à nouveau dans mes bras.

J'avais beau essuyer mes larmes, mes yeux étaient sans cesse humide.

J'avais tellement mal, que sous ma poitrine je ressentais du vide.

Et j'ai fini par remonter la pente, c'est peut-être la mélodie du bonheur qui me chante...

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"Elle m'a piqué, je sais que t'as besoin d'un homme pour que ton cœur sois recollé..."

Partie 108💘

L'enterrement venait de se terminer, et je pouvais enfin aller visiter la tombe de Hamza.

Amir, Safia ainsi que Ibtissem étaient à mes côtés.

Deux tombes isolés des autres, cet endroit me faisait ressentir tellement de nostalgie.

Le jour où Hamza m'a ramené ici, on avait passé un moment tout simplement inoubliable.

Le temps était peut-être bien passé depuis, mais je me rappelais de tout comme si c'était hier.

De notre discussion dans les moindres détails, et de ce que j'ai ressentis à ce moment là.

Flashback

On était à présent loin de la ville et de ces soucis. Ici, il n'y a que nous et la nature.

Hamza s'arrête enfin.

Je ne comprenais toujours pas pourquoi on était là.

Mais je descends quand même de la voiture après qu'il est fait de même.

Hamza sort un gros bouquet de fleurs rouge du coffre, ce qui m'intrigue encore plus.

On marche ensuite pendant plusieurs minutes, quand je vois un cimetière.

On entre, cett endroit me donnait des frissons.

On marche encore un peu jusqu'à jusqu'à arriver devant une tombe où il s'arrête soudainement.

Seyla R**** 1973-2013.

Je fais rapidement le calcule dans ma tête.

Cette femme avait tout juste 40 ans quand elle est morte.

Je tourne la tête vers Hamza, qui avait les larmes aux yeux.

Mon coeur se serre. C'est sa mère.

Fin du flashback

Je me rappelais parfaitement de ce moment,  on est tout les deux très gêné.

Enfin, surtout moi à vrai dire.

Mais je pense que c'est à partir de là que tout à commencer.

Safia s'avance près de moi, avant de me prendre la main et la serrer fort contre elle.

Une larme coulait sur ma joue, et je réalisais petit à petit que c'était réellement fini.

Que j'allais plus jamais le revoir, et qu'il était bel et bien enterré sous cette terre aux côtés de sa mère.