Sarah - La Beauté Intérieur. [TERMINÉE&ENCORRECTION]

PARTIE 127

Selem wa aleycoum, Bonjour.❤️

Cet homme avait le don de bouleverser toutes mes capacités physique, et j'avais l'impression de planer dans un rêve éternel rien que quand il prononçait ces deux mots magique.

Mehdi: Je t'aime.

Ce soir, j'ai décidé de vous raconter mon histoire. Vous pouvez me croire sur parole, elle n'a rien de ce que vous avez l'habitude de voir...

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"Je n'aurais jamais dû te connaître, jamais comme j'aimerais ne jamais t'avoir aimé..."

Partie 129💘

[...]

Mehdi: Aller s'il te plaît !

Moi: Tu sais très bien que je peux pas laisser Safia toute seule.

Mehdi: Dormir juste une nuit chez moi, c'est pas la mort.

Moi: Qui sait ce qu'elle va faire si elle reste sans surveillance.

Mehdi: Qu'est-ce que tu veux bien qu'il lui arrive ? C'est une grande fille qui peut très bien rester toute seule. T'as tout de même passé toute la journée loin d'elle et regardes, tout à l'air d'aller bien.

Moi: C'est pas pareil. La, il s'agit de la laisser seule la nuit, qui sait ce qu'elle peut encore faire comme connerie. T'as vite oublié l'autre soir ou quoi. Elle l'a échappé belle, et je remercie chaque jour Dieu qu'il ne lui ai rien arrivé de grave.

Au cas où vous auriez des doutes, il voulait que je passe la nuit chez lui, mais on allait bien évidement dormir dans des lits séparés.

En aucun cas je ferais quelque chose avec lui hors mariage, et encore moins à peine quelques semaines de mon accouchement.

Enfin bref, pour en revenir à l'autre soir, si vous saviez à qu'elle point j'avais bien cru perdre Safia pour toujours.

Rien que d'y penser, ça me procurerais plusieurs incontrôlables frissons.

Et c'est pour ça que jamais je ne pourrais permettre une seconde fois que ça se produise.

Flashback

5 semaines plus tôt...

J'étais assise sur une des tables d'un des restaurants les plus chic de la ville.

Fixant la fenêtre, je contemplais chaque personne qui passait sur le trottoir, plongée dans mes plus profondes et lointaines pensées.

C'était la première fois que je sortais de la maison en laissant Safia seule depuis le début de sa dépression.

Je ne savais plus quoi faire, j'avais tout tenté pour essayer de lui remonter le moral.

Mais on aurait dit qu'elle n'avait plus le goût de vivre, plus le goût à rien, c'est comme si elle s'était éteinte dans l'obscurité à jamais.