Sarah - La Beauté Intérieur. [TERMINÉE&ENCORRECTION]

PARTIE 138

Selem wa aleycoum, Bonjour.❤️

C'est comme si je venais de m'écraser d'un immeuble de cent étages, comme si le ciel venait de me tomber en pleine tête.

"Homme: Votre père est dans un coma artificiel, et ils envisagent de le débrancher"

Notre histoire a fini en trahison, j'aurais mieux fait d'écouter ma raison...

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"Salam ou bien salut on s'est quitté sur ces mots..."

Partie 140💘

A peine ai-je eu le temps de me remettre du choque que je venais d'avoir, qu'une grosse limousine noir s'arrête soudainement à ma hauteur.

Un homme m'ordonne ensuite de monter au nom de mon père, ce que je fis sans tarder et sans y mettre une pointe d'hésitation.

J'étais tellement stressée, que je n'étais vraiment pas d'humeur à discuter, ni même à me méfier.

J'avais alors tout de suite reconnu l'homme qui conduisait la voiture, c'était l'un des nombreux gardes du corps de mon père, celui qui était venu me chercher l'autre jour.

Moi: Où on va ?

Garde du corps: Nous allons tout de suite prendre le jet privée de Mr pour le rejoindre à l'hôpital. Il faut que vous veniez au plus vite pour empêcher son débranchement.

Moi: Et pourquoi vous avez besoin de moi ?

Garde du corps: Les médecins ont dit que seule une personne de sa famille peut s'opposer à le débrancher, et vous êtes l'unique personne qui lui reste.

Moi: Et...

Garde du corps: *en me coupant* Avant que vous le demandiez, votre fille ainsi que votre sœur sont déjà à bord du jet et elles n'attendent que vous pour décoller.

Moi: C'est parfait.

Garde du corps: Avez-vous besoin dune dernière chose avant qu'on puisse décoller ?

Je regarde mon téléphone, n'ayant aucune nouvelle notification depuis que j'étais partie du restaurant.

Je soupire, avant de rediriger mon regard vers l'homme.

Moi: Non, on peut y aller.

L'homme démarre alors la voiture a tout de vitesse, pendant que mes yeux se dirigeaient une dernière fois vers le restaurant.

Je ne le lâchais plus du regard, malgré qu'il s'éloignait de plus en plus de mon champs de vision, jusqu'à ne plus le voir.

Mehdi se trouvait à présent seul, ne se doutant sûrement pas qu'il allait pour de bon le demeurer.

Et que j'étais sur le point de m'en aller pour de bon.

Mais ce que je savais, c'est que de l'avoir vu m'avait fait un bien fou.

J'ai pu répondre à mes questions, et surtout, cela a permis d'enfin me soulager d'un poids du passé.