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J'ai pris vos remarques en notes, mais étant donné que j'avais déjà fait des parties écrites dont celle ci, elles ne sont pas améliorées. Mais à partir de 18/19 oui. Soit encore 8 chapitres, mais j'ai vraiment la flemme de tout refaire donc je vais poster assez rapidement ces suites pour passer au vrai chose. Le manque d'action se justifie tout simplement par l'histoire. L'action vient plus tard tout simplement, mais d'après ce que je vois ça ne plaît vraiment pas.
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Hadja

Nous étions samedi, et à ce stade tout se passé bien ! La temps ici est tellement bob, il fait pas chaud mais froid non plus. Je me sentais très bien d'autant plus que j'oubliais vraiment ma situation, je n'y pensais même plus pour vous dire.

Bref, Nadège et moi venons de rentrer d'une virée de shoopping entre filles. Et on peut dire que je me suis bien lâché pour ce coup. J'ai dépensé tout l'argent que j'avais avec moi, mais ne croyez pas que c'est Issa qui me les a donné. Je sais qu'il a de l'argent, mais je ne me suis pas encore permise de lui demander un seul sous, ceux que j'avais sont issues de la bourse étudiante que je reçois et des économies que j'ai faite. J'aurais d'ailleurs pu demander à ma mère, mais je connais déjà sa réponse et je ne veux même pas qu'elle sache que je suis avec Nadège.

- C'était trop bien, mais je suis maintenant trop fatigué.

Nadége - Moi aussi, je vais prendre une douche là.

- D'accord.

Elle rentre dans la salle de bain comme elle me l'avait dis. J'ai profité de son absence pour ranger mes affaires et aussi pour me changer afin d'enfiler une tenue adéquate pour dormir. En fouillant dans ma valise je suis tombé sur le petit pagne blanc qui traînait dedans. Les femmes mariées le mettent quand elles sont mariées, donc moi également. Il m'a immédiatement rappelé ce que je vivais réellement en ce moment, et là en outre que je suis mariée.                                                                                                                                                       Plusieurs idées sont ensuite venues en tête comme fuir car je le pouvais, surtout là. Mais j'ai pensé à ma mère puis je me suis rétractée. Je ne peux pas me permettre de faire ça. Je ne peux non plus par gardé ça pour moi...

C'est beaucoup trop, je dois en parler et surtout que ceux qui m'entourent soient au courant.

[...]

Mais j'ai de nouveau rien dit, en fait, je ne voulais pas gâché ce voyage, ce n'est pas le moment.
Je sais de toute façon qu'elle le saura un jour, et je préfère encore une fois.

Ce week-end s'était finalement achevé, arrivé en ville chacune est rentré dans son côté.
En arrivant à l'appartement personne n'y était, j'avais les doubles des clés pour y pénétrer. Et je peux vous dire que c'était sale.
Les cartons de grecs et de pizzas étaient partout dans la cuisine , certaines parts n'étaient pas finies et d'autres même pas mangés du tout. Les coussins du canapé du salon étaient tous retournés et des couvertures de sols s'y trouvaient. Ils ont donc dormis dans cette pièce et pas dans leurs chambres respectives.
Mais en arrivant dans celles-ci j'ai pu encore constater que c'était le bazar, surtout dans la mienne.
Shana et Issa ne sont pas gênés, et ça m'a fortement mis les nerfs. Je ne suis pas leur bonne tout de même...

J'ai soufflé un bon coup, car j'avais énormément à faire.
J'ai donc déballé ma valise, puis je me suis mis à faire le ménage tout en faisant la cuisine.
Tout nettoyé à dû me prendre 1 heure quelque chose comme ça, mais le plat n'était pas encore prêt. J'en ai profité pour me plonger dans mes cours, enfin jusqu'à que la porte d'entrée se met à sonné.
En allant ouvrir je m'attendais à voir Shana qui rentre souvent à cette heure, mais c'était Djelika, suivit de Mokthar et sa femme Asma qui portait un ruban sur la tête. J'étais assez choqué de le voir car ça fait plus d'un an que ne nous sommes pas vues.
Mais c'est pas pour autant que j'étais contente, je me demande bien ce qu'ils font ici même.

« L'aimer ou la (le) détester ? » Where stories live. Discover now