Chapitre 4

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Voix : AU SECOURS !!!!!!!!

Fanny et moi nous arrêtons et regardons autour de nous quand nous voyions Ben et Julian courir vers nous poursuivis par un homme au teint blanc, aux yeux rouges et aux dents sales.

Sauf que Julian n'est pas assez rapide, il n'a jamais couru vite et il se fait prendre. Et il disparaît comme de la poussière. Puis, ne savant pas pour quoi, Fanny me pousse et je tombe puis Ben et elle prennent la fuite. Je me relève avant que le truc ne m'atteigne et cour dans une direction. J'ai peur et le temps est encore plus froid qu'avant. Fanny, m'a volée ma lampe et je suis dans le noir complet. Je trouve comme même une grotte, c'est mieux que rien. Je bouche le trou qui m'a permis d'entrer avec des bâtons, feuilles et quelques pierres. Je m'apprête à fermer les yeux quand une odeur amère me fais ré-ouvrir les yeux, je tourne la tête très lentement et je hurle en voyant ça presque collée à mes cheveux :

 Je m'apprête à fermer les yeux quand une odeur amère me fais ré-ouvrir les yeux, je tourne la tête très lentement et je hurle en voyant ça presque collée à mes cheveux :

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Je me lève d'un coup sec mais le bébé/poupée, me suivit. J'enlevai vite les branches et pierres, les feuilles, elles étaient partie. Mais, le bébé/poupée me suivais toujours, je grimpa du mieux que je pus et c'est quand je vis la tête de Fanny, sur un pique à l'entrée de la grotte que je criai une fois de plus. Je me mis à courir mais une force me bouscula et je tomba. Je me retourna, le bébé/poupée était tout proche de moi.

Bébé/poupée : Regarde mes yeux !

La force qui m'a fait tomber m'oblige à regarder le bébé/poupée. Je donna un coup de pied dans le bébé/poupée, qui virevolta dans les airs et se fracassa au sol. Je me releva vu que la force n'était plus là et partis en courant.

-- : Cour, cour, ne t'arrête pas, sauf pour mourir... Nina...

Je courrai beaucoup plus vite que d'habitude. Sauf que je regarda mes pieds, je ne courais pas mais je volais... Je tombai et me remise à courir. Mais là je m'arrêtai car une odeur de tarte, que je connaissais trop bien m'attirai. Je savais que c'était un piège. Je me remis à marcher, pas à courir. Mais j'hurla en voyant ça :

Je courrai à la bordure de la forêt mais un choc puissant me fis tomber dans les pommes

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Je courrai à la bordure de la forêt mais un choc puissant me fis tomber dans les pommes. Et je sentis juste un souffle froid me parcourir le corps...

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