Chapitre 6

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(média : maison ou loge Nina)

L'ombre, mais oui... Julian était juste une illusion, mai je ne pouvais pas y croire et je m'endormis dans les bras de Morphée...

Je me réveillai allongée au sol, je me relevai d'un seul coup et l'image de Julian resurgit dans mon esprit. Je regardai autour de moi mais aucune trace de son corps. Je devais continuer les visites de la maison, je débouchai dans une chambre jaune pisse, un lit en balaquin ou manquait un pied était au centre de la pièce, une armoire était étalée au sol et une cinquentaine de bouteille verte était posée et allignée sur le rebord des murs rentrés. Je sortis vite de cette pièce et entrai dans une nouvelle, une salle de bain. J'en eu des hauts le coeur, une baignoire remplis de sang laissait apercevoir des corps de bébé sans tête flotter à la surface tel de bouée. Le lavabo était pire, les têtes des dizaines de bébés étaient dedant. Je tournai vite les talons en manquant de me vomir dessus et c'est se que je fis, vomir. J'enlevai mes baskets maintenant recouverte de substance verte et orange. Le froid du carrelage remontai lentement le lond de mon échine, mes vêtements était eux aussi couvert de vomi. Je pénétrai dans une nouvelle pièce, encore une chambre et j'y trouvai juste une blouse blanche, on aurait dit une blouse pour hôpital psychiatrique. Et ça en était bien une, j'enlevai les ceintures et l'enfila par dessus mes sous-vêtements. La couleur blanche s'accordait avec mon teint clair et je redescendis. Je ne mangeais pas mais bizarrement ça ne me dérangeais pas. Je me souviens que même ma mère me criait dessus parce que je ne mangeais pas, pendant des jours et des jours entier. Je fouilla un peu les placards en bon état de les cuisine et y trouvai une boîte de conserve périmée depuis plus de 24 ans... 24 ans qu'une légende ou histoire racontait que 6 adolescents étaient mort dans cette ville. Je repérai une porte en bois clair parsemé de taches rouges ou marron... Je l'ouvris et la poignée tombai au sol me faisant sursauter. Il n'y avait pas que ça, la porte menait à une sorte de cimetière. Je passai un pied dans le cimetière... Et je vis six noms... six noms trop connu pour être oublier...

Marge, Gaspard, Gabriella, Jocelyn, Juliette et Damien... Les six adolescents existaient et j'avais leur tombe sous les yeux, j'hurlai en voyant une main sortir de sous la terre. Je courrai jusqu'à la maison et trébucha sur une marche puis me cogna la tête et m'effondrai au sol...

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