Le bourreau et la bouquineuse {TERMINÉ}

4 ème sentence: Les explications de l'écureuil

❗️NOUVEAU: Je suis sincèrement désolée de ne pas pouvoir vous sortir le chapitre cette semaine, il est presque fini d'être écrit mais il manque encore la suite de la "BD" qui comportera deux pages. Malheureusement je ne serais pas chez Moi du 12 au 15 avril donc je ne pourrais pas continuer les dessins qui sont en bonne voie. Tous cela pour dire que le chapitre sortira je l'espère la semaine prochaine. (Souhaitez moi bonne chance je vais au championnat de France de danse sur glace!)❗️

Samedi 18 Mars

Dans la petite bibliothèque que nous connaissons bien, Revy se réveillait peu à peu de son sommeil dû à ses pleures incessant. La veille avait été tellement difficile qu'au bout d'une heure ou deux elle s'était endormi au milieu de ses livres sur le bureau noyé de larmes. Ses yeux commençaient à s'habituer à la lumière quand elle regarda une horloge sur le mur d'en face. Il était un peu près onze heure et le soleil à l'extérieur détonnait avec son humeur maussade. Doucement elle se redressa en se rappelant les évènements de la veille, notamment la phobie de Gajeel. Elle savait très bien qu'il avait peur du sang, il n'avait pas mentit sur ça, elle le savait. De plus il n'avait pas semblé très a l'aise sur l'échafaud. Mais alors pourquoi était-il bourreaux? Pourquoi avait-il tué son père?

En quelque sorte elle savait que se n'était pas lui qui choisissait qui il tuait mais ne pouvait-il pas refuser? Ou tout simplement arrêter d'être un tueur au service de l'état? Tout cela était incohérent et elle voulait savoir la vérité, qui était Gajeel? Il avait beau avoir menti et fait couler le sang de son père, elle l'aimait. Elle n'avait jamais ressentit quelque chose de pareil, c'était plus fort que ce qu'il y avait dans les livres et elle ne trouvait aucun mot pour le définir. Elle qui trouvait que le mot "aimer" était vide de sens jusqu'à maintenant s'était bien trompée.

Prenant son courage à deux mains, elle passa les portes de sa petite bibliothèque et se dirigea vers l'endroit où elle avait vu Gajeel pour la dernière fois, au tribunal. Elle passa les portes de fer à l'entré et chercha l'homme qu'elle aimait parmi la petite foule de personne présente dans le hall. Ne le voyant pas, elle alla demander au guichet d'accueil si elle pouvait voir "M. gajeel Redfox, le bourreau" mais a son plus grand étonnement la veille femme a l'air sévère, la foudroya du regard. " Cesse de dire des incohérences jeune fille, le seul bourreau accepté par l'état et travaillant ici ce nomme Henry-Clément Sanson et je n'accepterai en aucun cas qu'une dévergondée pareille se mette à le fréquenter." Reby un peu choquée et surtout énervée commença a s'en aller en chuchotant un petit désolée, lorsqu'on lui attrapa le poignet. C'était une grande main comme l'aurait eu Gajeel mais elle le savait sans même se retourner que ce n'était malheureusement pas lui.

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- Vous êtes bien Reby n'est-ce pas? Je me présente, Henry-Clément Sanson, je suis le patron de Gajeel.

- Enchantée Reby McGarden, vous ne sauriez pas où trouver Gajeel par hasard? lui demanda-t-elle un peu méfiante.

Plusieurs questions tournaient dans la tête de la petite crevettes tel que pourquoi on lui avait dit qu'il ne travaillait pas ici alors qu'elle l'avait vu de ses propres yeux exécuter son père? Tous cela n'avait aucun sens!

- Je sais où le trouver mais malheureusement je ne compte pas vous le dire.

- Qu-

- Disons que par certaine circonstance j'ai appris tout ce qu'il s'est passé entre vous deux et je voudrais vous prévenir de quelque chose avant que vous ne le regrettiez. Si vous vous approchez un temps soit peu trop de Gajeel, vous mourrez.