Le bourreau et la bouquineuse {TERMINÉ}

5 ème sentence: Liberté de vivre

Le dos voûté et les larmes au bord des yeux, la jeune crevette que nous connaissions bien, continuait sa lecture de l'album pour enfant révélant une tristesse qu'elle n'aurait jamais pu imaginer.

On s'infiltrait et on prit tout le monde en otage. Alors que l'on commençait à voler les noisettes en gardant un œil sur les employés, la polices fit son entré. rien ne fut plus jamais pareil. Dans la folie et l'agitation mon meilleur ami me criai de tuer un otage en signe de menace et pour donner l'exemple mais....je refusa. On avait été trop loin, même pour survivre. Fou de rage il agrippa le premier enfants qui lui passait sous la main et lui tira une balle dans le crâne. Le sang giclait et tout devint rouge alors que je sentais les forces de police m'attraper le bras pour ne pas que je m'enfuisse. Je ne me débâtis pas mais les yeux rivé vers mon partenaire, je ne pu rien faire lorsque la balle partie.

Si j'avais tué cet enfant, mon ami aurai-t-il été moins enragé? Aurait-on pu nous échapper? Ne se serait-il moins débattue contre les écureuils en bleu qui le tenaient fermement? Le policier n'aurait-il pas tiré pour le maîtriser? Serait-il toujours en vie? Je l'ai donc tué? Je me suis toujours posé ces questions et je me suis emmuré dans des remords. C'est alors que abattu en larmes les genoux au sol, j'ai rencontrer le corbeau. Il m'a "aider" à mettre au clair mes sentiments et m'a proposé une solution pour mettre fin à mes troubles. "Tu te sens coupable? Soit. Mais dis-toi qu'il n'y a qu'une seule solution pour que ton ami puisse te pardonner un jour. Il faut que tu souffre autant que lui en connaissant les mêmes douleurs, donc deviens un bourreau. Tus les personnes que l'on te dira jusqu'à tuer ton âme et ton humanité afin de ne plus être que le diable en personne."

Je n'ai pas pu faire autre chose que de devenir le bourreau de ma propre existence puis j'ai fini par te rencontrer et sa a tout changé. Mon coeur bâtait la chamade au simple de tes regards et mon souffle se faisait plus incertain en ta présence. Je me sentais vivre à travers l'amour que j'éprouvais pour toi. Tu étais rayonnante et magnifique au milieu de tes livres et de mon existence morose. Certains disent que les opposés s'attirent mais je suis sincèrement désolé de ne pas être une personne digne de toi. Je t'aime et je t'aimerai toujours ma petite fée des bouquins. Puisses-tu continuer ta vie en paix sans que mon existence t'atteigne.
Adieu, l'écureuil.